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L'architecture gothique | ![]() |
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![]() | L'architecture ogivale est un style d'architecture caractérisé principalement par l'emploi systématique de l'ogive, non seulement comme procédé de construction, mais encore comme ornementation, et qui, succédant au style romano-byzantin, fut en usage depuis la fin du XIIe siècle jusqu'au milieu du XVIe. C'est Raphaël, semble-t-il, qui, le premier, dans son célèbre rapport à Léon X, a appliqué la dénomination de gothique à l'architecture en honneur durant les trois derniers siècles du Moyen âge![]() ![]() ![]() Mieux vaudrait assurément avec quelques-uns se servir du terme d'architecture ogivale, si on voulait par là indiquer seulement une manière de bâtir qui a pour générateur la voûte sur nervures croisées diagonalement, autrement dit sur ogives. Mais on a trop souvent l'habitude de faire allusion à l'emploi des arcs brisés qui n'ont jamais porté le nom qu'on leur donne et sont loin, d'ailleurs, de se montrer exclusivement. Aussi, dans le but d'éviter tout malentendu, l'architecture en question devrait-elle même être appelée, en utilisant un mot récent, francilienne, en souvenir de la province (l'Île-de-France Plus tard, le mot gothique fut pris à la lettre, et on supposa, par erreur ou ignorance, que l'architecture du Moyen âge | |
![]() | L'évolution des styles Les monuments du style gothique, tant ancien que moderne, ont été quelquefois aussi classés par rapport aux pays qui les élevèrent. A ce point de vue, on a distingué le gothique du Nord, comprenant le breton ou anglais, le flamand et le normand, le gothique germain, subdivisé en saxon, tudesque et lombard; le gothique du midi, avec des espèces fort variées; le gothique asiatique, où l'on distingue le syrien, l'arabe, le sarrasin et le moresque. Outre qu'elle n'a rien de scientifique, outre qu'elle ne repose pas sur les caractères intrinsèques des monuments, cette classification confond des styles très divers. Par rapport à l'exécution artistique, on a imaginé encore les divisions suivantes : le gothique à trèfle, qui aurait fleuri du IXe au XIe siècle; le gothique rosé et fuselé, dans lequel les vitraux sont disposés en roses ou corolles aplaties, et les piliers composés d'un gros fût principal et de nombreuses colonnettes en fuseaux; le gothique ondulé et panaché, chargé de galbes, d'ondulations, de clefs pendantes; le gothique flamboyant et le gothique fleuri, développement ou exagération du précédent. C'est là encore une classification peu précise, et qui s'appuie trop souvent sur des détails accessoires. ![]() Portion de la façade gothique de l'église Saint-Germain, à Amiens. Il existe cependant des caractères qui permettent de suivre, au moins en France Le gothique primitif (style à lancette). Dans la construction, le petit appareil régulier, ou à losange, ou en arêtes de poisson, a disparu. Le moyen appareil, assez rare, ne peut fournir d'indications chronologiques. On se sert de pierres de grand appareil, communément plus longues que hautes, bien posées sur d'épaisses couches de mortier. Les colonnes se groupent autour des piliers qui soutiennent les voûtes, de manière que les trois quarts de leur fût restent apparents; il en est (à Laon, à Canterbury) qui sont complètement détachées du pilier qu'elles accompagnent, et quelquefois garnies d'annelets. Les proportions en hauteur et en diamètre varient suivant les édifices, et aussi selon les intentions particulières de chaque architecte ( L'ogive règne à peu près exclusivement dans les arcades. Si l'on rencontre encore le plein cintre en quelques endroits, c'est par exception, et il apparaît entouré des moulures et des ornements du style ogival. Les entablements présentent des dents de scie, comme à la fin de la période romano-byzantine, et aussi des feuillages à crochets. Le gothique rayonnant. Les roses des portails augmentent leur diamètre et la richesse de leurs compartiments. Les clochetons qui s'élèvent au-dessus des contreforts extérieurs s'allègent et s'évident, ou sont remplacés par des aiguilles garnies de crochets. Les clochers sont placés assez arbitrairement dans diverses parties de l'édifice. Les balustrades des galeries abandonnent les arcades trilobées pour les trèfles, les quatre-feuilles et les quintefeuilles encadrés. Quant à l'ornementation, si les sujets ont beaucoup d'analogie avec ceux de l'âge précédent, on remarque des différences notables dans l'exécution et dans les détails : les moulures toriques sont moins prononcées et les profils plus maigres; la statuaire a plus de finesse et de régularité; les supports en encorbellement commencent à s'orner de figures bizarres, quadrupèdes, reptiles, etc. ![]() Notre-Dame de Paris. Vous avez dit gothique? (© Photos : Serge Jodra, 2009). Le gothique flamboyant. Cela étant dit, on doit bien garder à l'esprit que hors de France |
![]() | Les origines et la diffusion du gothique D'où est venu ce style particulier à la seconde moitié du Moyen âge D'autres ont donné à l'architecture ogivale une origine arabe, sarrasine ou moresque, en s'appuyant sur la présence de quelques ogives au palais de Ia Ziza près de Palerme, et dans plusieurs monuments élevés par les Musulmans en Espagne |
Les cathédrales de Noyon et de Laon sont les prototypes évidents de celles de Lausanne et de Limbourg, voire même d'une partie de celle de Bamberg. Quant au célèbre dôme de Cologne, terminé à grands frais au XIXe siècle, il n'est dans son choeur, entrepris en 1248, qu'une habile compilation des cathédrales d'Amiens et de Beauvais, faite par un artiste ayant vécu en Picardie![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Viollet-le-Duc ne reconnaissait en France que quatre écoles : Ile-de-France ![]() Choeur de saint-Martin des Champs. L'évolution de l'architecture religieuse Les plus anciennes croisées d'ogive signalées en Europe A proprement parler, c'est dans l'ancienne province de l'Île-de-France |
Nous avons parlé seulement des arcs bandés diagonalement; il ne faut pas oublier non plus ceux engagés dans les parements des murs et qui ont reçu le nom de formerets. Leur rôle est d'une importance capitale, car ils isolent entièrement la voûte des anciens supports latéraux. Grâce à eux, charge et poussée se trouvent concentrées en des endroits déterminés qu'il s'agit alors de rendre aussi résistants que possible. Pour y arriver, d'une part, on multiplie, à l'intérieur, les pièces montantes et, de l'autre, on jette au dehors, par-dessus les bas-côtés, un ou deux étages de demi-cintres qui viennent empêcher tout déversement et maintiennent l'édifice en équilibre. Sans arcs-boutants, la croisée d'ogive ne peut exister qu'à l'état presque embryonnaire; c'est l'élément indispensable de l'architecture gothique, celui qui permet de donner aux grandes églises, en même temps qu'une incroyable légèreté, une physionomie pittoresque. L'une des conséquences du système adopté fut la facilité accordée aux architectes de substituer à leur gré des vides aux pleins dans tout l'espace laissé entre les piliers. Comme il n'y avait plus là qu'une sorte de remplissage, l'édifice n'était point atteint dans sa solidité par d'immenses fenêtrages qui, du haut en bas, remplacèrent les murs d'autrefois. On en vint même, vers le milieu du XIIIe siècle, en donnant au toit des bas-côtés une double inclinaison, jusqu'à ajourer le mur de clôture du triforium. Ce dernier, pour ainsi dire, ne fut plus que la continuation des fenêtres hautes et bien souvent le meneau horizontal nécessité par la dalle formant plafond de la galerie qu'il faut cacher aux regards, s'interrompt au passage des colonnettes et vient buter sur les côtés contre les moulures de l'encadrement. Pour en finir avec la question qui nous occupe en ce moment, disons que les plus beaux types de triforium ainsi ajourés extérieurement se voient à Saint-Denis, à la cathédrale de Troyes, à celle de Tours et à celle de Séez. Dans tout le Nord de la France |
XIIIe siècle. Généralement le choeur des églises romanes était assez restreint et, sur le bas-côté, s'il y en avait un, s'ouvraient trois ou cinq chapelles. Dans les églises gothiques, au contraire, le choeur finit parfois par égaler la superficie de la nef. Sa largeur surtout prend des proportions extraordinaires, vu l'augmentation du nombre des collatéraux et la plus grande profondeur des chapelles qui se suivent sans interruption. Celle de la Vierge, en outre, placée dans l'axe de l'édifice, dépasse en longueur toutes les autres. Quant à leur forme, au lieu d'être circulaire ainsi que dans le siècle précédent, elle décrit le contour d'un demi-polygone, les plans rectilignes étant plus favorables au percement de larges fenêtres. Bien entendu il en est différemment pour les chapelles disposées le long des bas-côtés de la nef. Ces dernières, dont l'apparition ne remonte guère au delà du règne de Philippe le Hardi (1270-1285), étaient nécessairement bâties sur plan rectangulaire. Nous ne pouvons entrer dans de grands détails sur la construction des églises gothiques. Des articles spéciaux feront connaître le rôle de chacune des parties dont elles se composent. Toutefois il est bon de dire dès maintenant que dans ces édifices si compliqués rien n'est dû au hasard. Les balustrades, par exemple, qui garnissent les passages ménagés à la base des toits non seulement facilitent la surveillance et l'entretien de l'édifice, mais encore, conjointement avec les gâbles des fenêtres, les crêtes des arcs-boutants et les gargouilles, participent au système d'écoulement des eaux pluviales que les architectes gothiques, avec raison, rejettent le plus loin possible des murs. Quant aux pinacles, ils ont pour but d'assurer par leur poids une plus grande force de résistance aux contreforts et, partant, ils contribuent à maintenir les arcs-boutants dans la rigidité qui leur est indispensable. Tous les besoins matériels sont satisfaits, et c'est à peine si on s'en aperçoit, vu le soin apporté aux exigences du goût. Jamais décoration plus ingénieuse n'a été mise en oeuvre et nous avons affaire à de grands artistes en même temps qu'à d'habiles constructeurs.
La tendance à la légèreté, nous dirions presque à la maigreur qui se manifeste trop souvent est sagement atténuée dans la plupart des façades. Bien que couvertes de détails et percées d'arcatures sans nombre, elles n'en conservent pas moins une ampleur raisonnable. Comme chef-d'oeuvre du genre, nous pouvons citer la façade de Notre-Dame de Paris, où les lignes horizontales se combinent si heureusement avec les lignes verticales. Les tours ne se dégagent qu'à la partie supérieure et le pignon est en retrait derrière une admirable galerie à jour. Si l'architecte n'a pas connu les monuments antiques, du moins il a connu ce qui leur donnait un charme incomparable, le calme dans la richesse. |
Quelques églises gothiques, Laon, Chartres, Reims, etc., outre les clochers placés sur la façade, en ont quatre autres dans les angles rentrants formés par la projection des transepts. Tous sont généralement quadrangulaires jusqu'au premier ou au second étage au-dessus des combles, et leurs faces présentent de longues baies accouplées qui, à Notre-Dame de Paris par exemple, n'ont pas moins de 25 m de hauteur. Sur la dernière corniche, privée le plus souvent de balustrade, prennent pied quatre clochetons d'angle et quatre lucarnes au milieu des côtés, dont le rôle est de ménager la transition entre le corps carré de la tour et la base octogonale de la flèche. Cette disposition, déjà usitée à la fin de l'époque romane, caractérise plus spécialement le XIIIe siècle. |
La tendance à ne conserver des murs que ce qui était indispensable devait amener la création de ces immenses fenêtres en roue que le Moyen âge![]() Après avoir été longtemps une dérivation du corinthien, les chapiteaux romans s'étaient transformés, au cours du XIIe siècle, en un bas-relief continu. La première préoccupation des architectes gothiques, au contraire, fut de revenir à la décoration végétale. On ne vit plus autour de la corbeille que des feuillages en bourgeon d'abord, ce que les archéologues appellent des crochets, puis des feuilles entièrement développées. Et des chapiteaux cette décoration s'étendit aux corniches, aux jambages de quelques fenêtres, aux arêtes des flèches. La figure humaine fut réservée pour les portes où elle se multiplia à l'infini, pour les principales galeries, les gables et les contreforts. Durant toute la période gothique, les dispositions générales changèrent peu, mais il n'en fut pas de même des détails qui se transformèrent plusieurs fois. Les fenêtres, par exemple, en s'élargissant, nécessitèrent l'emploi de meneaux qui tantôt supportèrent de petites rosaces ou des ornements à lobes et tantôt se ramifièrent en courbes ondulées imitant assez fidèlement des flammes. De leur côté, les arcs qui présentaient d'abord une brisure peu accentuée devinrent de plus en plus aigus. On vit même apparaître au-dessus d'eux, comme pour les continuer et leur donner plus d'élancement, l'ornement connu sous le nom d'accolade et qui se compose de deux portions de cercle opposées par leur convexité et terminées par un fleuron d'une richesse exubérante. Il est vrai que durant ce temps, en guise de compensation, les chapiteaux des colonnes et colonnettes allaient toujours s'amaigrissant. Une fois réduits à de simples feuillages tapissant les corbeilles qui se confondaient avec le tailloir, leur raison d'être n'existait plus; aussi finirent-ils par disparaître sans laisser le moindre vide après eux. |
L'architecture gothique atteignit son apogée au XIIIe siècle. C'est alors que furent construites ces admirables cathédrales qui ont nom Chartres, Amiens, Reims, Bourges, Troyes, Auxerre et Beauvais. Rien de pareil n'existe en aucun pays et la France![]() ![]() XIVe et XVe siècles. Les germes de déclin déjà sensibles dans les constructions des dernières années du XIIIe siècle, telles que le choeur de la cathédrale de Beauvais, la façade de Saint-Nicaise de Reims et toute l'église Saint Urbain de Troyes, devaient s'accentuer rapidement et il faut avouer qu'en bien des cas nous nous trouvons non devant des oeuvres de goût mais devant de véritables tours de force. Les architectes gothiques, en poussant à l'extrême leurs déductions, ne pouvaient que tomber dans la subtilité et le raffinement. La sagesse fait place aux froids calculs et tout cède aux combinaisons imposées par de savantes ouvertures de compas. Néanmoins, même après un siècle de déclin, tout n'est pas perdu encore et sous Charles VII, de même que sous Louis XI, nous voyons s'élever des églises qui ne manquent ni de grandeur ni de majesté. Citons au hasard l'abbatiale de Saint-Riquier, Saint-Wulfran d'Abbeville et Saint Germain d'Argentan. Le XVe siècle aime construire des clochers, et il était poussé dans cette voie par les municipalités, qui trouvaient ainsi un moyen d'affirmer la richesse et l'importance de leur ville. Les plus élégants sont ceux de Harfleur, Hazebrouck, Fontenay-le-Comte, Niort, Marennes et Marciac. Quant à l''ogive équilatérale, elle est encore en usage au commencement du siècle : mais bientôt paraît l'ogive surbaissée, puis, surtout aux portes, l'arcade en accolade ou en doucine; au XVIe siècle, cette arcade règnera partout aux fenêtres, aux arcatures, aux baies des clochers, etc. Souvent l'arcade des portes est encadrée dans un vaste fronton, dont la surface est ornée de panneaux ou découpée à jour. Les sommets des ogives et des pignons sont couronnés par un bouquet épanoui, et leurs cotés garnis de feuilles et de crochets. Les dais des niches sont surmontés de pinacles dentelés, découpés à jour et ornés de feuillages. Les nervures des voûtes se croisent suivant des dessins très variés, et à chaque point d'intersection sont appliquées des figures en relief, des emblèmes ou des armoiries; quelquefois la clef s'allonge en volumineux pendentif. Lorsque les tours du XVe siècle sont surmontées de flèches, celles-ci sont bâties avec la plus grande élégance; mais le plus souvent elles sont carrées, soutenues aux angles par des éperons garnis de niches, et décorés à leur sommet d'une balustrade finement découpée. A la même époque appartiennent la plupart des clochers pyramidaux en charpente, couverts d'ardoise, comme on en trouve un grand nombre dans les églises rurales. Quant à l'ornementation, elle devient de plus en plus riche : ce ne sont que bouquets fleuris, guirlandes de feuillages, dentelures à jour, festons, niches, statues, dais, pinacles, petits sujets assez ordinairement satiriques et grotesques; en un mot, la science a fait des progrès dans les procédés de l'exécution matérielle, mais on observe partout l'afféterie et l'exubérance. |
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L'architecture militaire et civile L'architecture gothique qui est celle des plus belles cathédrales convient bien à l'expression de la pensée religieuse. De tous côtés, dans le plan et dans les détails, ce ne sont que pieux symboles. Le prodigieux élancement des colonnes, l'élévation vertigineuse des voûtes, l'immensité et la mystérieuse obscurité du sanctuaire, ces forêts de clochetons et de pinacles, ces tours colossales et ces flèches aériennes, tout élève les idées et exalte les sentiments. "II n'est âme si revêche, dit Montaigne, qui ne se sente touchée de quelque révérence."On ne peut cependant oublier que cette architecture est contemporaine d'une autre architecture, que parfois elle se contente d'inspirer, mais que d'autres fois elle investit complètement, et que l'on retrouve dans les constructions militaires et civiles. Durant les XIIe et XIIIe siècles, l'architecture militaire n'existe encore que comme amas de murailles; ses ornements, si elle en possède, sont peu nombreux et directement empruntés aux églises. Aussi nous contenterons-nous d'indiquer la forme générale de certaines parties importantes de nos grands châteaux féodaux. |
Le type des donjons sur plan carré, déjà fixé au XIe siècle, se perpétue dans les pays qui échappent à la domination royale, tels que la Normandie![]() ![]() ![]() ![]() C'est sous le règne de Charles V que l'architecture civile commence, à proprement parler, à se dégager de l'architecture religieuse. Dans le tracé des fenêtres, l'arc brisé est abandonné et s'y substituent l'arc bombé, l'anse de panier, quelquefois même le plein-cintre et le simple linteau. Puis les baies se subdivisent au moyen de meneaux verticaux et transversaux formant croix. Enfin, les sujets de sculpture sont pris dans les romans de chevalerie, les scènes de la vie publique ou les moeurs de l'époque. Comme types de constructions civiles, nous pouvons citer l'hôtel Jacques-Coeur à Bourges, l'hôtel de Sens à Paris (IVe arrondissement), et une foule de maisons plus on moins remarquables à Troyes, à Joigny, à Rouen, à Caen, à Angers, à Tours, à Saint-Malo, à Vitré et à Morlaix. Beaucoup de ces dernières sont en pans de bois avec hourdage de briques. |
Enfin, l'architecture gothique réussit admirablement dans la construction des hôpitaux dont le type le plus remarquable se voit à Beaune, en Bourgogne![]() ![]() ![]() |
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