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Protozoaires
Les Rhizopodes
Aperçu Infusoires Sporozoaires Rhizopodes
Les Rhizopodes forment un groupe de Protozoaires que l'on apparente aujourd'hui aux Flagellés (Infusoires), dont ils dériveraient.  Ils sont formés d'un corps sarcodaire libre, privé de membrane d'enveloppe, mais généralement protégé par un test calcaire ou chitineux ou par un squelette siliceux. Le parenchyme sarcodaire, contractile, émet des radicelles ou pseudopodes, c.-à-d. des filaments fins, visqueux ou de larges prolongements lobés un digités, qui servent à la locomotion et à la nutrition de ces animaux (le nom de Rhizopodes dérive de ce caractère : rhiza = racine; pous, podos = pied). Le cytoplasme est en outre riche en granulations et souvent en corpuscules pigmentaires; ces granulations sont répandues dans la partie interne (endoplasme), plus liquide, de la masse sarcodaire, qui se différencie à la surface en une couche plus visqueuse, transparente (exoplasme). Les pseudopodes se forment aux dépens de l'exoplasme, et les granulations ne tardent pas à y pénétrer, en formant des sortes de courants. Il y a d'ailleurs un courant de retour, donc un double courant, lent, mais régulier, attribuable à la contraction du sarcode. Le cytoplasme renferme en outre des vacuoles, pleines de liquide, et parfois une vacuole contractile, comme chez les Difflugia, les Actinophrys, etc. 

Quant aux formations solides sécrétées par le sarcode, ce sont, ou bien des aiguilles fines, ou des piquants creux, disposés régulièrement autour d'un centre, surtout chez les Héliozoaires et les Radiolaires; ou bien c'est un treillis hérissé d'épines et d'aiguilles, comme chez certains Radiolaires; ou enfin ce sont des coquilles simples ou cloisonnées, à parois criblées de trous, sans préjudice des grandes ouvertures (Foraminifères). Les pseudopodes passent par ces ouvertures et pores et parfois forment un fin et délicat réseau. Les Rhizopodes sont généralement marins, sauf les Héliozoaires qu'on considère quelquefois comme des Radiolaires d'eau douce. Ils contribuent dans une large mesure à la formation du sable marin et à celle de vastes dépôts depuis les premières époques géologiques. 

Les Rhizopodes sont divisés en  trois classes : les Amibiens ou Amoebiens, les Foraminifères et les Actinopodes (Acanthaires, Radiolaires et Héliozoaires).

Les Amibiens

Structure des Amibiens.
On trouve les Amibiens (Amoebiens) sur la terre humide, les matières en putréfaction et les plantes aquatiques; quelques espèces vivent en parasites dans l'intestin, les poumons et le foie de l'humain.

L'espèce apparemment la plus simple est la Protamœba primitiva, simple petite masse sans membrane et sans noyau; elle se multiplie en s'étranglant tout simplement en deux (fig. 282).
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Amibes.
Protamœba primitiva en voie de division.

Le genre le plus important de cette classe est le genre Amibe (Amœba) qui comprend une vingtaine d'espèces vivant presque toutes dans les mares, principalement à la surface des conferves ou des débris de feuilles mortes ; quelques-unes vivent en parasites chez l'humain.

Elles sont dépourvues de membrane périphérique; lenoyau et comprend une zone périphérique claire ou ectoplasme et une région centrale granuleuse ou endoplasme.

Amibe.
Amibe avec ses prolongements (Amoeba proteus) et des corps étrangers (diatomées) qu'elle a absorbés.
Leur corps se déforme en poussant des pseudopodes qui sont toujours gros et courts, peu nombreux et jamais ramifiés; en disparaissant pour se reformer sur un autre point, ils amènent le déplacement du corps par des sortes de mouvements de reptation que l'on appelle des mouvements amiboïdes (fig. ci-dessous). Ces mouvements ou tropismes sont déterminés par l'influence directe de facteurs externes, oxygène, chaleur, substances chimiques etc., qui provoquent des phénomènes osmotiques ou amènent des variations dans la tension superficielle.
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Amibe.
Amibe absorbant des particules alimentaires.
La nutrition s'effectue de deux façons : d'abord par toute la surface du corps, qui absorbe directement certaines substances dissoutes dans l'eau, puis par les pseudopodes qui englobent des particules solides. Un corps étranger quelconque, nutritif ou non, arrive-t-il au contact de l'Amibe? Il est peu à peu entouré par les pseudopodes, incorporé et digéré, s'il est alimentaire, par des diastases, après quoi les résidus, s'il y en a, sont rejetés au dehors.

Ces résidus sont de deux sortes : il y a d'abord les matériaux solides qui
ont résisté à la digestion intracellulaire et qui sont expulsés par les contractions; puis les substances liquides telles que l'urée, l'acide urique, etc., qui proviennent de l'oxydation des matières albuminoïdes et qui vont se concentrer en une petite gouttelette appelée la vésicule contractile; à un moment donné, cette gouttelette se trouvant près de la surface du corps, éclate brusquement et chasse son contenu au dehors. Il s'en développe ensuite une autre juste au même point.

Principales espèces. 
On connaît une vingtaine d'espèces d'Amibes vivant dans les eaux douces ou salées, principalement dans les eaux marécageuses. Une des plus communes est l'Amœba proteus qui mesure 300 µ. Mais les plus intéressantes sont celles qui vivent en parasites dans l'intestin de l'humain et même quelquefois dans le foie ou les poumons (abcès). Les principales sont : 

1° l'Amœba coli qui est très commune dans le côlon de l'humain et d'un grand nombre d'animaux sauvages ou domestiques, surtout quand le contenu intestinal est neutre ou basique; elle est inoffensive. Ses pseudopodes se forment lentement, sont peu mobiles et absorbent les bactéries de la flore intestinale. Quatre ou cinq autres espèces vivant également dans l'intestin ne sont pas non plus pathogènes.

2° L'Amoeba ou Entamoeba dysenteriae vit en parasite dans le gros intestin et détermine la dysenterie amibienne (autrefois appelée aussi dysenterie coloniale), différente de la dysenterie bacillaire des pays tempérés qui se traite par le sérum de Vaillard et Dopter. Elle mesure de 25 à 50 µ et se distingue de l'Amoeba coli non seulement par ses pseudopodes qui se forment rapidement et sont très mobiles, mais surtout par la présence dans son cytoplasme de globules rouges en voie de destruction.

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Amibes de la dysenterie.
Amibes de la dysenterie à l'état de mouvement.
Sa reproduction est extrêmement active et explique les ulcérations du caecum qui se produisent dans les cas graves, par suite de la pénétration des amibes dans le tissu conjonctif de la muqueuse, dont elles détruisent les éléments en déterminant une suppuration. On a signalé également cette espèce dans les abcès des poumons, du cerveau et même des reins.

3° L'Amoeba tetragena ressemble beaucoup à l'espèce précédente, mais n'engendre qu'une dysenterie bénigne.

4° L'Amœba buccalis a été trouvée dans le tartre dentaire et dans les dents cariées.

Reproduction.
La reproduction sexuée qui a été longtemps décrite chez certaines Amibes n'est plus admise aujourd'hui par aucun auteur. La reproduction asexuée est le seul mode de reproduction; elle se fait par scissiparité ou par spores après enkystement.
1° La scissiparité consiste tout simplement dans l'étranglement progressif de l'Amibe en deux parties emportant chacune la moitié du noyau. C'est le mode ordinaire de multiplication tant que ces organismes sont placés dans leurs conditions habituelles de vie.

2° La formation des spores à l'intérieur d'un kyste se produit quand les conditions deviennent défavorables et particulièrement à la suite du manque d'eau : la cellule rejette par toute sa surface une substance mucilagineuse qui durcit et devient une coque résistante à l'intérieur de laquelle a lieu une fragmentation en un certain nombre de petites masses nucléées qui sont autant de spores (chez l'Amibe de la dysenterie). Avec le retour de l'eau, les kystes éclatent et les spores mises en liberté deviennent autant de nouvelles amibes libres. Les kystes gardent leur vitalité une trentaine de jours dans l'eau et c'est par eux que se propage l'infection : une fois dans l'intestin, ils sont dissous par les liquides digestifs et les Amibes mises en liberté envahissent la muqueuse intestinale en y déterminant des altérations.

Les Foraminifères

On donne le nom de Foraminifères à un groupe de Rhizopodes extrêmement riche. Leur nom de Foraminifères, c'est-à-dire porte-trous, a été donné par d'Orbigny. La substance dont est composé un Foraminifère est ce que l'on appelle du sarcode. Cette substance offre de nombreux prolongements filiformes nommés pseudopodes ou faux pieds et qui servent à l'animal d'organes de locomotion. Lorsque celui-ci a une coquille, cette coquille est percée de trous pour le passage des pseudopodes. De là le nom de Foraminifères donné à la classe. Tantôt les pseudopodes sont répandus sur toute la surface du corps, et alors la coquille est criblée de perforations; tantôt les pseudopodes se développent sur un seul point, et dans ce cas la coquille n'a qu'une seule grande ouverture à travers laquelle peuvent passer ces pseudopodes. Les Foraminifères à pores nombreux sont qualifiés de perforés, et ceux qui ne présentent qu'une seule ouverture sont dits imperforés. En outre, la coquille se segmente en loges séparées par des cloisons. Un Foraminifère peut n'avoir qu'une seule loge ou en posséder plusieurs. Alors celles-ci sont ou disposées sur une ligne droite à la suite les unes des autres, ou arrangées soit en hélice, soit en cercles concentriques, ou bien encore pelotonnées. Certains Foraminifères dits arénacés ne sécrètent pas de coquille calcaire; mais ils s'en forment une d'emprunt en s'agrégeant les grains de sable au milieu desquels ils vivent. 

Ce sont des organismes nus ou pourvus d'une coquille calcaire, percée de pores pour la sortie des pseudopodes. Ils manquent de capsule centrale. 

La ressemblance des petits tests des Foraminifères avec les coquilles Polythalames des Nautiles fit croire d'abord qu'ils étaient produits par des animaux semblables ou analogues à ces derniers, mais extrêmement petits. C'est pourquoi, des naturalistes proposèrent de rapprocher les Foraminifères des Mollusques"céphalopodes. Ils les regardèrent comme des Nautiles  microscopiques et dégradés. Mais la découverte de quelques espèces vivantes et un examen attentif de leurs caractères apprirent bientôt que ces animalcules constituaient une tribu beaucoup plus simple en organisation que celle de ces derniers Mollusques.

Lorsque les Foraminifères viennent à mourir, leurs coquilles tombent au fond de la mer et, à la longue, elles donnent lieu à la formation de roches calcaires compactes. Le calcaire des terrains carbonifères est souvent formé à peu près exclusivement par les coquilles d'un Foraminifère fossile, la Fusuline. Les puissantes assises de la craie blanche sont constituées par les débris de tests de Foraminifères microscopiques; mais c'est surtout dans les terrains tertiaires que les restes de ces animaux se rencontrent en quantités prodigieuses. Un de leurs genres, celui des nummulites, a fourni la pierre dont est bâtie la plus grande pyramide d'Égypte, ainsi que le calcaire grossier du Bassin parisien. On estime qu'un mètre cube de ce dernier contient environ 3 milliards de Foraminifères. On peut dire, avec Alcide d'Orbigny, "que la capitale de la France est presque bâtie avec des Foraminifères, ainsi que les villes et les villages de quelques-uns des départements qui l'avoisinent."

Pendant les époques géologiques les plus anciennes, les espèces de Foraminifères étaient, semble-t-il, beaucoup moins nombreuses qu'elles ne le sont actuellement. Elles se sont multipliées pendant la suite des temps géologiques, et aujourd'hui elles le sont à un tel degré qu'elles modifient d'une manière très sensible le relief du fond de la mer. A diverses époques, elles ont comblé des parties de l'Océan

Les Actinopodes

Les Radiolaires.
Ces espèces sont caractérisées par une membrane chitineuse ou capsule centrale qui se développe au sein de la cellule, qu'elle divise en deux régions, l'ectoplasme à l'extérieur de la capsule, l'endoplasme à l'intérieur, avec le noyau et de nombreuses gouttelettes graisseuses; ces deux régions communiquent entre elles par de nombreux pores percés dans la capsule chitineuse; les pseudopodes de la surface sont très fins et souvent anastomosés en réseau.

De plus, les Radiolaires possèdent généralement un squelette siliceux qui n'a jamais la forme d'une coquille et qui consiste tout simplement en piquants rayonnants ou en sphères treillissées implantés dans le région superficielle.

Ce sont pour la plupart des êtres microscopiques ne mesurant que 1 à 2/10e de millimètre et vivant tous dans la mer, où ils mènent une vie pélagique. La vase des grands fonds sous-marins renferme une grande quantité de squelettes de ces animaux, qui sont tombés lentement au fond après leur mort.

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Reproduction.
La reproduction des Radiolaires se fait par sporulation ou par division. Le premier mode est le plus fréquent. Le noyau se fragmente un grand nombre de fois, et la masse cellulaire se divise en une multitude de petites zoospores à deux flagellums renfermant chacune un noyau. Mises en liberté, par destruction de la capsule, elles nagent et reproduisent chacune un nouvel individu. Quant à la division, elle débute par la bipartition du noyau, et la capsule centrale s'étrangle et se divise de même; ce mode de reproduction est rare et s'observe surtout chez les formes coloniales; les nouvelles capsules centrales formées restent unies par la masse sarcodaire externe (Collozoum, Sphaerozoum).

Les Héliozoaires.
Les Héliozoaires sont des animaux d'eau douce dont les uns sont dépourvus de squelette et dont les autres ont un squelette siliceux rayonné, dont la disposition rappelle celui des Radiolaires, à tel point qu'on les a parfois définis des Radiolaires d'eau douce. Ces Protozoaires, pourvus fréquemment de vacuoles contractiles, émettent des pseudopodes grêles, filiforrnes, habituellement rigides, rarement anastomosés entre eux;  on observe une différentiation dans le centre, de telle sorte que plusieurs observateurs ont admis l'existence d'une capsule centrale chez les Héliozoaires. On a établi dans ce groupe fort intéressant plusieurs ordres, dont les deux principaux sont   les Actinophrydés et les Clathrulinidés. 

Les Actinophrydés.
L'Actinophrys que l'on trouve dans les mares, à la surface des conferves a un ectoplasme brillant et renferme une rangée de vacuoles liquides et contractiles à la manière d'un coeur, dont une est toujours plus grande que les autres. Le squelette siliceux manque dans cette espèce et les pseudopodes sont extrêmement longs. 

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Actinophrys.
  Actinophrys (eau douce).- L'ectoplasme renferme de nombreuses vacuoles pleines de liquide et ne se distingue de l'endoplasme, dans cette espèce, que parce que ce dernier est granuleux et dépourvu de vacuoles.
Les Clathrulinidés.
Les Clathrulinidés sont des espèces d'eau douce à coquille treillissée et de consistence siliceuse. Exemple : Clathrulina elegans (Clathruline élégante).

Les Acanthaires.
Les Acanthaires, dont le type est l'Acanthodesmia de Haeckel, sont des  Radiolaires dont le squelette siliceux est formé de spicules (= bâtonnets, piquant) peu nombreux, irrégulièrement assemblés en un tissu lâche; la capsule centrale, située au centre du treillis discontinu que forment ces bâtonnets, n'est pas traversée par ceux-ci; elle est ordinairement sphérique. Les Radiolaires de ce groupe, largement représentés dans les mers tempérées, se sont maintenus pour la plupart depuis de longs siècles : on les trouve à l'état fossile an début de l'époque tertiaire. Outre l'Acathodesmia, on trouve dans ce groupe le Lithocircus, le Disptyocha, le Distephanus ou encore l'Acanthomètre pâle (Acanthometra pallida), dont la capsule centrale est ronde et traversée par quatre piquants  disposés en croix, autour desquels rayonnent d'autres piquant plus courts. (A. Pizon /  Dr L. Hn. / R. Bl.).

Une classification des Rhizopodes

Actinopodes
Radiolaires

Endoplasme et ectoplasme séparés par une membrane chitineuse.

Polycystinés Spumellaria : Collosphaerides; Thalassicollides; Actinommides, Phacodiscides, Coccodiscides, Porodiscides, Spongodiscides, Pyloniides, etc.
Nassellaria : Plagoniides; Theoperides; Carpocaniides; Pterocorythides; Artostrobiides, etc.
Phaeodarés Phaeogymnocellida : Phaeosphaerides, Phaeodinides, Atlanticellides.


Phaeocystida


Phaeosphaerida : Aulosphaerides; Cannosphaerides; Sagosphaerides.


Phaeocalpida : Castanellides; Circoporides; Tuscarorides; Porospathides; Polypyramides.


Phaeogromida : Challengerides; Medusettides;  Lirellides.


Autres familles : Concharides; Coelodendrides.
Héliozoaires

Classe très riche. De nombreuses espèces sont fossiles. Pseudopodes grêles, ni ramifiés, ni anastomosés, parfois rigides. Pas de membrane chitineuse.

Actinophrydés : Actinophrys, Actinosphaerium, Ciliophrys


Clathrulinidés : Clathrulina, Cienkowskya, Hedriocystis.


Centrohélidés : Acanthocystis, Pompholyxophrys


Autres ordres : Protéomyxidés, Protéomyxidiés.
Acanthaires

Organismes marins dont le squelette non siliceux est formé de spicules disposés géométriquement; on en fait aussi une classe de Radiolaires.

Arthracanthidés
Sphaenacanthes

Dorataspides (Aconthaspis, Coscinaspis, Craniaspis, Dictyaspis, Dorataspis, Hystrichaspis, Icosaspis, Lychnaspis, Pleuraspis, Siphonaspis, Stauraspis).

Acanthometrides (Acanthometra, Amphilonche, Tetralonche).

Hexalaspides (Coleaspis, Hexaconus, Hexalaspis).

Dans d'autres familles :  Diploconus, Lithoptera, Phractopelta.
 

Phyllacanthes

Phyllostaurides (Acanthostaurus, Amphistaurus, Lonchostaurus, Phyllostaurus, Zygostaurus).

Stauracanthides (Stauracantha, Phatnacantha, Pristacantha, Xiphacantha).

AutreDictyacantha.

Chaunacanthidés Stauraconides (Amphiacon, Heteracon,  Stauracon)

Dans d'autres familles : Conacon, Gigartacon.

Holacanthidés Acanthocollides (Acanthocolla, Acanthocyrtha, Acanthospira).

Dans d'autres familles :
Acanthochiasma, Acanthoplegma

Symphyacanthidés Amphilithides (Amphibelone, Amphilithium). 

Astrolithides (Acantholithium, Astrolithium, Astrolonche, Heliolithium).

Pseudolithides (Dicranophora, Haliommatidium, Pseudolithium).

Foraminifères
Pseudopodes grêles, ramifiés, anastomosés; test chitineux ou calcaire 
Monothalames
(Imperforés)

La coquille est à une seule chambre et a une grande ouverture.

Gromies (Allogromines) Allogromiides  : Allogromia, Botellina.

Lagynides :  Iridia.

Milioles Alveolinaces
Cornuspiraces
Miliolaces
Soritaces
Squamulinaces
Polythalames
(Perforés)

La coquille présente plusieurs chambres placées à la suite les unes des autres, communiquant entre elles par des trous percés à travers les cloisons.

Nodosoriacées Lingulina.

Lagénides (Lagena, Nodosaria, Lenticulina, Saracenarian Astacolus, etc.),

Glandulines, Polymorphidides, Vaginulinides.

Globigerinida Globigerinacea, Heterohelicacea
Planomalinacea, Rotaliporacea, etc.
Rotaliidés Nummulitides : Hétérostégines, Nummulites (Operculina);

Elphidiides  : Elphidium, Cribroelephidium, Elphidiella.

Rotaliides : Ammonia.

Calcarinides, Miogypsinides.

Autres ordres : Fusulinines, Textulariines.
Amibiens (Amibes)
Pseudopodes gros et courts.
Gymnamoebiens Amoebidés Amoebides : Amoeba gorgonia, Chaos diffluens (amibe protée). Hydramoeba hydroxena, Metachaos discoides, Polychaos dubium, Stygamoeba polymorpha,  Trichamoeba cloaca, etc.



Entamoebides  : Entamoeba histolytica (agent de la dysenterie amibienne); Endamoeba blattae, Cytamoeba bacterifera, Dobellina mesnili, Endolimax nana,  Iodamoeba buetschlii,  Janickina pigmentifera, Martinezia baezi,  Pansporella perplexa, etc.

Hartmannellides : Cashia,  Glaeseria,  Hartmannella,  Rhizamoeba;  Saccamoeba.

Dans d'autres familles :   Acanthamoeba, Dimastigamoeba, Flabellula,  Mastigamoeba, Paramoeba,  Pelomyxa, Naegleria,  Vahlkampfia.
Thécamoebiens
ou Testacés
Amibes à coque (thèque)
Euamoebidés Euamoebida, Vannela.
Arcellinidés Paraquadrulides (Paraquadrula, Quadrulella), Difflugiides (Cucurbitella, Difflugia), Pseudodifflugiides (Baileyi,  Pseudodifflugia), Hyalosphéniides.

Dans d'autres familles : Arcella, Centropyxis, Nebela, Phryganella.

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