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Les Mollusques
Les mollusques sont un embranchement des invertébrés. Ce sont des animaux à corps mou, dépourvus de squelette interne; non articulés, ils sont ordinairement munis d'une coquille externe ou interne. Cette coquille peut contenir l'animal en entier; dans certains cas, elle n'est que rudimentaire, dans quelques autres, elle manque complètement. Le système nerveux est constitué par plusieurs groupes de ganglions reliés entre eux par des connectifs; la cavité digestive distincte est pourvue de deux ouvertures; la reproduction est ovipare ou ovovipare. Les Mollusques rassembleraient quelque 130 000 espèces. C'est l'embranchement le plus riche après celui des arthropodes. On distingue deux sous-embranchements (Conchifères et Amphineures); les trois classes les plus importantes (Gastéropodes, Lamellibranches, Céphalopodes) appartiennent au premier.
Avant les Mollusques, les Molluscoïdes. - Dans la classification proposée par H. Milne-Edwards, les Molluscoïdes ne formaient qu'une section de l'embranchement des Mollusques et renfermaient les Tuniciers et les Bryozoaires. Après lui, Claus a décrit un embranchement des Molluscoïdes comprenant les Bryozoaires et les Brachiopodes; Milne-Edwards rapprochait ces derniers de ses Mollusques acéphales. Les Tuniciers s'éloignent considérablement des Mollusques et présentent même quelques affinités avec les Vertébrés, grâce à la présence d'une corde dorsale partielle qui peut d'ailleurs disparaître chez l'adulte. Les Bryozoaires et les Brachiopodes s'éloignent également des Mollusques, et les travaux qui ont été faits par la suite sur le développement de ces animaux ont semblé indiquer qu'ils ont une souche ancestrale commune avec les Annélides, mais ces deux types semblent s'être profondément modifiés et séparés l'un de l'autre, de sorte qu'ils présentent de très grandes différences, surtout à l'état adulte. Rémy Perrier considérait les Bryozoaires comme des vers Monomérides fixés, se reproduisant par bourgeonnement et formant ainsi des colonies. Les Brachiopodes sont toujours solitaires et leurs larves se rapprochent beaucoup de celles des Chétopodes. (Dr L. Hn.).
La systématique des mollusques

On répartit les mollusques en deux sous-embranchements : les Conchifères et les Amphineures. Le premier se subdivise en trois grandes classes, Chéphalopodes, Gastéropodes et Lamellibranches,  auxquelles on ajoute les Solénoconques et le Monoplacophores. Le second sous-embranchement  est formé de la classe des Chitons (Polyplacophores) et de celle des Aplacophores.

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Conchifères Céphalopodes (2 sous-classes) :
Dibranchiaux : Décapodes (seiches, calmars),
                      Octopodes (poulpe ou pieuvre),
                      Vampyromorphes : vampyrotheutis.
Tétrabranchiaux : nautiles, ammonites.
Gastéropodes
Prosobranches : ormeaux, bigorneaux, murex
Opisthobranches : lièvres de mer.
Pulmonés : limnées, planorbes, limaces, escargots.
Lamellibranches
Eulamellibranches : coques, bénitiers, palourdes.
Filibranches : moules, huîtres.
Protobranches.
Septibranches. 
Solénoconques (ou Scaphopodes) : dentale.
Monoplacophores (rares aujourd'hui, surtout fossiles).
Amphineures Polyplacophores (ou Chitons)
Acanthochitons : chiton polii.
Ischinichitons
Lépidopleures : lepidopleurus cancellatus.
Aplacophores
Caudofovéates : chaetodermes, limifossor
Solénogastres : pruvotina, epimenia, nematodermia.
Les Céphalopodes.
La classe des Céphalopodes (du grec Képhalê = tête, et du pluriel podes = pieds, c'est-à-dire pieds à la tête) contient les animaux les mieux organisés de ce groupe. Ils sont caractérisés par une tête bien distincte, pourvue de deux grands yeux d'une structure très analogue à celle des yeux des vertébrés et couronnée, à l'entour de la bouche, de huit ou dix prolongements mous, très mobiles, nommés pieds ou tentacules.

Loligo vulgaris L. (bras et bouche).

Ces tentacules sont garnis de suçoirs nombreux à l'aide desquels l'animal saisit les objets et s'attache à eux pour se mouvoir. A la suite de la tête vient un corps ramassé en forme de sac, tantôt presque sphérique, tantôt plus ou moins allongé qui renferme tous les viscères. Ce sont tous des animaux marins, et, par conséquent, ils respirent par des branchies. Quelques-uns ont des coquilles très apparentes; d'autres n'en ont que des rudiments invisibles. On mentionnera la Seiche officinale (Saepia officinalis, Cuv.), très commune, et dont la coquille, que l'animal porte cachée sous la peau du dos, est connue dans le commerce sous le nom de biscuit de mer. On trouve encore sur les plages quelques espèces de Poulpes (Octopus, Lamk.) désignés par les pêcheurs de la Manche sous le nom de Sarpouilles, plusieurs espèces de Calmars ou Encornets des pêcheurs (Loligo, Lamk.). Toutes ces espèces ont près de l'anus une poche où s'accumule un liquide noir connu sous le nom d'encre de seiche ou sépia. C'est dans la classe des Céphalopodes qu'on trouve les plus grands mollusques connus

Les Gastéropodes. 
Les Gastéropodes sont des animaux pourvus d'un pied ou disque ventral; tête distincte portant des tentacules et des yeux, soit sessiles, soit pédonculés; bouche munie d'une ou de plusieurs mâchoire cornées. Une coquille contenant l'animal en entier ou rudimentaire, externe ou interne. Les Gastéropodes peuvent être répartis en trois ordres : les Prosobranches, les Opisthobranches et les Pulmonés.

Les Prosobranches.
Animaux constamment pourvus d'une coquille, d'un appareil respiratoire complet, constitué par des branchies situées dans une cavité formée par le manteau et placée en avant du coeur : animaux dioïques. Deux sous-ordres: 
1° Pectinibranches.
Animaux aquatiques ou terrestres, à branchies pectinées divisées en deux feuillets inégaux, quelquefois réduits à un seul. 
Familles principales : Muricidae; genres : Purpura, Murex, Trophon, etc. Fusidae; genres : Fusus, Pisania, etc. Fasciolariidae; genres : Fasciolaria, Latirus. Buccinidae; genres :Buccinum, Nassa, Halia, etc. Pleurotomidae; genres : Pleurotoma, Surcula, etc. Conidae; genres : Conus, etc. Cypraeidae; genres : Cypraea,Trivia, etc.


2° Scutibranches.
Mollusques pourvus de branchies attachées au plafond d'une cavité particulière dont l'ouverture est située en avant : elle est, suivant les cas, dorsale ou latérale; ces animaux sont dioïques mais ne s'accouplent pas. La coquille est tantôt pourvue d'un enroulement spiral, tantôt sans spire appréciable; elle offre la forme d'un cône dont l'ouverture occupe la buse.

Principales familles : Helicinidae, animaux terrestres; genres : Helicina, Trochatella, Bourcieria. Neritidae : animaux vivant dans les eaux douces ou salées; genres : Nerita, Neritina, Navicella. Turbinidae : animaux marins; genres : Turbo, Astratium, etc.. Trochidae; genres: Trochus, Delphinula, Calliostoma, Gibbula. Fissurellidae; genres: Fissurella, Emarginula, Fissurellidea, etc. Patellidae; genres : Patella, etc.
Les Opisthobranches.
Branchies situées à la partie postérieure du corps : une coquille externe parfois rudimentaire, laquelle manque souvent. Deux ordres :
1° Tectibranches, animaux munis d'un pied, d'une coquille protégeant les branchies :
Familles : Tornatellidae; genres Tornatella, etc. Bullidae; genres : Bulla, Haminea, Atys, etc.
2° Nudibranches :
Familles : Dorididae; genres : Doris, Actinodoris, etc. Goniodoridae; genres : Goniodoris, Acanthodoris, Thecacera, etc. Tritoniidae; genres : Tritonia, Tethys, etc. Aeolidae; genres : Glaucus; Aeolis, etc. Elyaiidae; genres-: Elysia, Placobranchus, etc.
Les Pulmonés
Animaux terrestres ou aquatiques respirant l'air en nature au moyen d'un appareil à parois vasculaires et à ouverture contractile; hermaphrodites, ovipares ou ovovipares; une coquille ordinairement spirescente, parfois rudimentaire ou patelliforme. Ils sont divisés en quatre sous-ordres :
1° Thalassophiles; genres : Amphibola, Siphmaria, etc.

2° Hygrophiles; genres : Chiiina, Limnea, Ancylus, Planorbis, Physa, etc.

3° Géhydrophiles; genre : Auricula.

4° Geophiles; genres : Limax, Helix, Bulineus, Pupa, Clausitia, Achatina, etc.

Les Ptéropodes.
Mollusques nus parfois munis d'une coquille univalve, plus ou moins membraneuse, de forme très variable. Ces animaux, essentiellement pélagiens, sont pourvus d'un pied dont les dilatations forment de chaque côté du corps une sorte d'aile propre à la natation; lorsque le pied est rudimentaire, ces ailes sont remplacées par des nageoires latérales. La tête plus ou moins développée est garnie de deux paires de tentacules. La bouche est terminale et les branchies sont placées à l'extérieur ou contenues dans une cavité intérieure. Les Ptéropodes sont divisés en deux ordres : les Gymnosomata et les Thecosomata. Les animaux composant le premier de ces ordres ont un corps allongé, une tête distincte séparée du reste du corps par une portion étroite à laquelle on donne le nom de cou et qui porte les nageoires. Les branchies distinctes se composent de très petits feuillets situés à l'extrémité postérieure du corps.
Familles : Cliidae, animaux sans coquille; genres : Clio, Pneumoderma, etc. Euribidae, animaux globuleux dont la tête très distincte est rétractile dans une poche formée par l'épaississement du manteau; genres : Eurybia, Psyche, etc. 
Le second ordre offre des animaux possédant une coquille calcaire ou cartilagineuse, sans tête distincte, à tentacules très courts parfois rudimentaires, à nageoires non séparées et à branchies contenues dans une cavité dorsale ou ventrale.
Familles : Cymbulidae; genres : Cymbulia, etc. Limacinidae; genres: Limacina Spirialis. Cavolinidae; genres : Cavolinia, etc.
Les Solénoconques.
Animaux symétriques recouverts par un manteau complet ; un pied plus ou moins long, très grêle; la tête n'est pas distincte, coquille allongée, mince, tubuleuse. Genres : Dentalium, Siphonodentalium.

Les Lamellibranches (ou Pélécypodes). 
Animaux sans tête distincte, enfermés dans une coquille composée de deux valves réunies par un muscle cartilagineux (ligament); pas de mâchoires; la respiration a lieu au moyen de branchies placées sur les côtés du corps. Quatre ordres : Pholadacés; Vénéracées; Lucinacés et Pectinacés.
Pholadacés. Manteau fermé donnant passage à deux siphons contigus à la base. Genres principaux : Pholas, Barnea, Teredo.

Vénéracés. Coquille arrondie ou allongée parfois rostrée, équivalve. Genres : Mactra, Tellina, Venus, etc.

Lucinacés. Manteau à lobes libres, réunis postérieurement, mais donnant passage aux siphons. Genres : Lucina, Corbis, Cardita, Unio.

Pectinacés. Lobes du manteau ouverts et libres dans toute leur longueur. Genres : Trigonia, Arca, Pecten, Ostrea, etc.

L'organisme des mollusques

Système nerveux. 
Il se compose de ganglions symétriques placés au-dessus de l'oesophage : ils portent le nom de ganglions sus-oesophagiens, dorsaux ou buccaux; de chaque côté ils sont reliés par des connectifs :

1° aux ganglions ventraux, lesquels fournissent les nerfs aux organes de la respiration, aux viscères et au manteau, constituant ainsi les ganglions branchiaux, sous-oesophagiens, viscéraux; 

2° à des ganglions pairs, symétriques, donnant naissance aux nerfs du pied; enfin, à une ou plusieurs paires de ganglions, lesquels distribuent les nerfs à la partie extérieure du tube digestif; dans chaque groupe les ganglions sont réunis entre eux par des commissures.

Chez les Lamellibranches le système nerveux est très simplifié. On remarque les ganglions cérébroïdes réunis par une commissure assez développée dans certains groupes, abrégée dans d'autres, enfin presque rudimentaires chez quelques-uns. Les ganglions pédieux sont réunis aux cérébroïdes par une paire de connectifs formant un anneau d'autant plus étendu que le pied se trouve plus écarté de la bouche. Chez les Huîtres et chez quelques autres genres qui sont dépourvus de pied les ganglions pédieux sont atrophiés. Les ganglions branchiaux sont réunis aux cérébroïdes par des connectifs très longs; ces ganglions donnent naissance aux nerfs des muscles adducteurs, postérieurs des valves, aux filets nerveux des siphons, aux nerfs palléaux, etc.

Système circulatoire.
Ce système est représenté par un coeur divisé en oreillette et en ventricule; par des vaisseaux à parois propres et par des sinus creusés dans les tissus  : il n'est pas clos; l'eau peut s'y introduire, soit par des pores spéciaux, soit par l'appareil rénal. Le sang des Mollusques est généralement incolore; cependant, chez quelques Gastéropodes, il est blanchâtre, et chez un Pulmoné (planorbe) il est faiblement rougeâtre. Le coeur, est situé sur la ligne médiane chez les Lamellibranches et les Céphalopodes, sur l'un des côtés du corps dans les Prosobranches et les Pulmonés. Le nombre des oreillettes est variable; les Pulmonés, les Opisthobranches et un grand nombre de Prosobranches n'en possèdent qu'une; les Lamellibranches, quelques Gastéropodes et Céphalopodes en ont deux. Chez les Solénoconques le coeur est rudimentaire : il se présente sous la forme d'un sinus sanguin pulsatile traversé par le rectum; ce sinus communique avec de nombreuses cavités.

Organes de la respiration. 
La respiration a lieu par l'intermédiaire de branchies chez les Mollusques vivant dans les eaux douces ou salées, mais il faut en excepter les Pulmonés aquatiques, soit marins, soit d'eau douce. Pour les Lamellibranches, les branchies se présentent sous la forme de deux lames placées de chaque côté du corps; en arrière se trouvent deux tubes nommés siphons, dont l'un est destiné à amener aux branchies l'eau nécessaire à la respiration et l'autre à rejeter le liquide aspiré du dehors. Les Pulmonés sont pourvus d'un véritable poumon contenu dans une cavité spéciale munie d'une ouverture permettant à l'air extérieur de s'y introduire : ce poumon est formé par des vaisseaux arborisés dont les ramifications limitent des alvéoles.

Organes reproducteurs. 
Les Lamellibranches ne s'accouplent pas : leurs glandes génitales sont paires et symétriques, placées sur les côtés au bas de la masse viscérale. Quelques Lamellibranches sont hermaphrodites, tels sont l'Ostrea edulis, l'Anodonta cellensis, d'autres comme les Unios et le Cardium edule sont dioïques. Les Gastéropodes sont en partie dioïques et en partie hermaphrodites; parmi les dioïques, il faut citer en première ligne les Patelles, les Haliotides, les Troques, dépourvus, comme les Lamellibranches, d'organes copulateurs et ne possédant qu'une glande génitale unique dont l'ouverture se trouve placée auprès de l'anus. Tous les autres Prosobranches sont pourvus d'organes copulateurs. Chez ces derniers l'organe se compose d'une glande rameuse; le canal excréteur du testicule aboutit au côté droit du cou. La forme de la verge est très variable. L'appareil femelle est formé pareillement par une glande qui remplit les fonctions d'un ovaire, par un canal excréteur ou oviducte, lequel, après un long parcours, passe au voisinage du rectum et se rend à la matrice. Cette dernière est constituée par une longue cavité plissée intérieurement.

L'organe reproducteur des Gastéropodes hermaphrodites (Pulmonés) est composé comme il suit : les orifices génitaux confondus s'ouvrent dans un seul cloaque : dans ce cas, l'appareil est constitué par une glande lobulée dont les follicules portent les ovules à l'extérieur et les cellules spermatiques à l'intérieur, et la glande hermaphrodite est généralement nommée organe en grappe; par un canal excréteur de l'organe en grappe, tortueux, atteignant l'extrémité postérieure du canal déférent et de la matrice, tout auprès de la glande albuminipare, glande en forme de langue, d'un blanc jaunâtre. Elle sécrète un liquide épais dans lequel nagent des globules et des granulations; son canal excréteur s'ouvre dans la partie postérieure de la matrice : cette dernière a la forme d'un canal un peu tortueux, à parois boursouflées; elle est adhérente dans tout son trajet au canal déférent. La matrice en se séparant du canal déférent forme le vagin, lequel aboutit au vestibule on poche commune. Le vestibule a la forme d'un sac plus ou moins étendu; il contient les orifices du vagin, du canal de la poche copulatrice, de la verge; son orifice externe est placé en arrière du grand tentacule droit. Le canal déférent est partagé en deux parties distinctes : la première postérieure, adhérente au bord concave de la matrice; l'intérieure libre. La verge est contenue dans un sac à peu près cylindrique; elle passe dans le vestibule, lequel se referme lors de l'accouplement.

Le vagin est souvent accompagné d'organes accessoires ordinairement rameux, allongés et réunis par groupes : ils portent le nom de vésicules multifides. Dans certaines espèces (Helix pomatia, vermiculata), les branches de chaque vésicule sont nombreuses; dans quelques autres, il n'existe qu'une seule vésicule. Ces vésicules multifides n'existent pas chez les espèces des genres Daudebardia et Zonites; elles sont représentées par un revêtement glandulaire considéré comme une prostate vaginale.

Tous les Céphalopodes sont dioïques : les mâles sont plus petits que les femelles. L'appareil de la reproduction femelle est constitué par un ovaire enveloppé par une tunique particulière; l'oviducte, continuation de cette tunique, est parfois simple et débouche dans le cloaque vers la base de l'entonnoir, parfois double, et, dans ce cas, leurs orifices sont situés entre les branchies et le rectum.

La majeure partie des Mollusques sont ovipares; quelques-uns sont ovovivipares; ces derniers sont en très petit nombre. Chez ces animaux la fécondité est particulièrement, développée. Poli déclare que l'Huître comestible peut pondre en une seule saison 120 000 oeufs; d'après Davaine, les oeufs pondus par une seule Huître atteindraient le chiffre de 4 250 000 oeufs, l'Unio pictorum donnerait 220 000 oeufs. Les Pulmonés sont loin d'atteindre un chiffre aussi élevé. Ces derniers déposent leurs oeufs dans les lieux frais, sous les mousses, sous les pierres, souvent dans la terre, en un trou creusé par l'animal et dont la profondeur peut atteindre de 4 à 40 cm. L'éclosion, d'après Moquin-Tandon commence vers le quinzième ou le vingtième jour, et, dans certains cas, seulement un mois après la ponte. (J. Mabille). 

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Dictionnaire Les mots du vivant
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