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La République
d'Arménie
est un Etat d'Asie occidentale (Sud-Caucase),
enclavé et frontalier avec l'Azerbaïdjan,
la Géorgie, l'Iran,
et la Turquie. C'est un territoire montagneux
- l'Aragats Lerrnagagat (Alagoez) atteint les 4090 mètres - grand
comme la Belgique (29,743 km²) et peuplé
de 2,97 millions habitants (2010). Il a pour capitale Erevan (Yerevan) ,
située à près de 1 000 mètres d'altitude. L'Arménie
est divisée administrativement en 11 provinces (marzer, singulier
- marz) :
Les provinces
de la République d'Arménie
Aragatsotn
Ararat
Armavir
Geghark'unik'
Kotayk'
Lorri |
Shirak
Syunik'
Tavush
Vayots'
Dzor
Yerevan |
L'actuelle Arménie correspond à
l'ancienne Arménie russe, devenue ensuite République soviétique
d'Arménie, dont elle a conservé les frontières lors
de son accession à l'indépendance en 1991 ( Histoire
de l'URSS ).
Le pays n'est ainsi qu'une partie de la Grande-Arménie historique
: cette dernière englobait également le Nord-Ouest de l'actuel
Iran
(une partie de la région du lac d'Ourmiah), la bordure occidentale
de l'Azerbaïdjanactuel et l'Est de l'actuelle
Turquie (régions d'Erzurum ,
de Kars et du lac de Van). Cet espace recouvre à peu près
toute l'étendue du du Massif ou Plateau arménien,
une région naturelle à l'individualité bien marquée,
et à laquelle il a semblé utile ici d'étendre les
indications données dans les paragraphes consacrés à
la géographie physique.
L'Arménie, dit Saint-Martin, est
sillonnée dans tous les sens par un grand nombre de rivières
et de torrents, couverte de lacs très considérables,
hérissée partout de hautes montagnes
qui rendent le terrain extrêmement difficile, et divisée en
une quantité de vallées profondes qui forment autant de petits
cantons distincts. Le sol de l'Arménie a subi de grands bouleversements
tectoniques. Les séismes sont fréquents, et parfois très
destructeurs, comme celui du 7 décembre 1988 (magnitude 6,9) qui
a fait près de 30 000 victimes et plus de 500 000 sans-abri. Les
pierres volcaniques, les sources thermales, et les cratères attestent
aussi que là furent jadis des volcans.
La culture n'est guère possible
que par irrigation (Erevan
reçoit moins de 400 millimètres de pluie
par an) ; les secteurs cultivés portent des vignobles, des vergers,
fournissent du coton, de la betterave à sucre. Mais les terres cultivées
ne représentent que 17% de la superficie de l'Arménie. La
plus grande partie du pays s'adonne à l'élevage. Les industries
extractives moyennement développées : on exploite le tuf
volcanique comme matériau de construction, la pierre ponce et des
minerais variés (le cuivre surtout, le
molybdène
et la bauxite).
Orographie du
Massif arménien.
Karl Bitter dit avec raison que l'Arménie,
considérée dans son ensemble, est une "île-montagne".
Tout le pays, en effet, est un massif de 1500 m d'altitude moyenne; les
ramifications des chaînes qui le traversent
découpent le pays en vallées, entre lesquelles les communications
sont difficiles, et que couronnent des pics d'une grande altitude. Vers
les cours supérieurs de l'Euphrate et du Tigre, des rameaux montagneux
s'abaissent, par gradins successifs, par-delà la Turquie
d'Asie, jusqu'aux plaines de l'Irak.
Carte
de l'Arménie. Source : The World Factbook.
(Cliquer
sur l'image pour afficher une carte plus détaillée).
Si l'on part du Sud pour remonter vers
le Nord, on gravit donc une suite d'assises, un gigantesque escalier jusqu'au
moment où, arrivé à l'extrémité du Massif
arménien, on domine brusquement les rives de la mer
Noire et de la Caspienne. On peut rattacher
à quatre chaînes principales l'ensemble de ce système
orographique :
1° Un premier rameau part
de l'Ararat (en Turquie) et se dirige du Sud-Est au Nord-Ouest; l'un de
ses chaînons latéraux est connu sous le nom de Soghanli-Dagh;
2° Une double chaîne circonscrit
le Plateau arménien proprement dit ou plateau
de l'Ararat, entre Erzouroum (Erzurum)
et Bayburt (Bayézid). Du talus septentrional de ce plateau se détachent
les monts Giaour, le Kob-dagh, etc.; le talus méridional porte le
nom d'Ala-Dagh (Aladaglar);
3° A son extrémité orientale,
l'Ala-Dagh s'infléchit au Nord pour se rapprocher de l'Ararat et
du point de jonction part, vers le Sud-Est une troisième chaîne
qui passe entre les lacs de Van et d'Ourmiah. C'est
à une partie de cette chaîne que l'on donne le nom de Zagros;
4° Les monts Bingöl (Bingoel)
sont reliés par des contreforts à l'Ala-Dagh et aux monts
Nemrod, lesquels longent le Nord du lac de Van. Les monts Hékiars,
au Sud du même lac, se relient également aux Bingöl.
Restent les monts Alagöz qui, au-delà de la vallée de
l'Aras séparent le plateau géorgien de l'Arménie et
au pied desquels se trouve le lac de Sévanga
ou Goktchaï. Le défilé donnant accès de l'Arménie
en Géorgie est remarquable par la hauteur de ses rocs à pic
et ses gorges profondes.
Le Massif d'Arménie domine les communications
de cette partie de l'Asie. Erzouroum ,
au débouché du plateau, est le point de convergence des routes
qui viennent du Caucase et de celles qui conduisent
en Anatolie, en Syrie,
en Irak et vers le golfe
Persique.
Hydrographie.
L'un des traits qui caractérisent
la configuration du Massif arménien et qui contribuent à
lui donner un aspect pittoresque, c'est le grand nombre de ses bassins
lacustres, tous très élevés au-dessus du niveau de
la mer. Les principaux sont ceux de Van (en Turquie),
d'Ourmiah (en Iran) et de Sévanga (ou lac
de Sévan, en Arménie). Le lac de Van ou de Peznouniats (Tosp
des Arméniens) est à 1710 m d'altitude et mesure au moins
200 km de circonférence; celui d'Ourmiah tient en dissolution une
quantité de sel qui dépasse celle des eaux de la mer
Morte; celui de Sévanga a une altitude de 1500 m, et les îles
cratériformes, qui émergent de ses eaux bleues, indiquent
que son lit a été jadis le théâtre de phénomènes
volcaniques.
Léonce Alischan, dans la Topographie
de la Grande-Arménie qu'il a publiée à la suite
de sa Géographie politique, Venise, 1853, in-4, divise en
sept groupes « les lieux des sources, c. -à-d. les lieux d'où
descendent les grands fleuves de l'Arménie
» :
1° La Haute-Arménie,
où prennent leur source le Tchorouk, l'Euphrate et l'Aras. Le Tchorouk,
sorti des montagnes de Sber, se jette dans la
mer Noire, entre Gounié et Batoum.
«
Le Iép'rad (Euphrate, Fourat) naît du mont Doumlou, au Nord
de Garin (Erzéroum); il porte d'abord la nom de Siyah-Djou, ou Kara-Sou
(Eau-Noire); dans la plaine de Garin, il s'unit à un autre bras
qui descend des montagnes à l'Ouest (la rivière de Sartcham),
prend le nom commun de Siyah-Djou, ou Kara-Sou (Eau-Noire) et tend vers
l'Ouest. Après avoir traversé la plaine de Garin, il pénètre
au Sud, dans le district de Terdjan, dont il reçoit la rivière
à gauche, c. -à-d. du côté de l'Est; ensuite,
il prend la dénomination d'Euphrate, et, se dirigeant vers le Sud-Ouest,
jusqu'à Erzenga et Kiébàn-Mâdèn, il sépare
la Grande-Arménie de la Petite-Arménie. A droite, il reçoit
le Kaïl (Lycus), le Komer-sou, le Kourou Tchaï, le Kara-bounar,
le Kourma et autres rivières de la Petite-Arménie. A gauche,
son affluent le plus considérable est le Bingöl-Sou. Un peu
au-dessus de KiébanMaden, il reçoit un autre affluent important,
l'Euphrate armé, nien (Aradzâni), Mourad-Tchaï ou Mourad-Sou,
qui vient de l'Est, du côté de Pakrévant, Grossi par
ce tribut, il roule ses ondes vers le Sud, puis vers l'Ouest et forme un
grand coude au mont Mouchèr, dont il entoure la base; ensuite, il
tourne au Sud-Est en bornant le territoire arménien jusqu'au mont
Mihrab. Là, après avoir reçu le Kizil-Tchébouk,
sur la gauche, il continue vers le Sud-Ouest en dehors de la Grande-Arménie,
roulant entre la Petite-Arménie et l'Euphrate, et se précipitant,
par une suite de cataractes,
à travers des défilés et des vallées sans s'écarter
des confins de l'Arménie. A partir de la vallée de Biredjik
et au dessous, il tourne au Sud-Est et, suivant toujours la mème
direction. il va, hors l'Arménie, arroser la Mésopotamie
». (Alischan, op. cit.).
Quant à l'Aras (l'ancien Araxe, Iérask),
qui a son cours tout entier en Arménie, et qui reçoit un
certain nombre d'affluents, il se jette dans la mer
Caspienne après sa jonction avec le Kour (ancien Cyrus);
2° le haut groupe de l'Arménie
géorgienne, c. -à-d. les montagnes de Tchaldir, de Kars et
Soghanli, à l'Ouest desquelles coule le Kour, qui par son importance
occupe un des premiers rangs dans le système hydrographique arménien;
ses sources multiples se trouvent dans la province de Koukarq et se réunissent
à Ardahan;
3° le Karabag (Karabakh), d'où
naissent un certain nombre d'affluents de l'Aras et du Kour;
4° le district de Pakrévant,
dont les massifs, dépendant de la chaîne de l'Ala-Dagh, donnent
naissance à l'Aradzani, qui est mentionné plus haut;
5° la province d'Ag'tzniq, où
le Tigre a sa source au Sud du lac de Goeldjuk ou de Kharpout, suivant
les uns, dans ce lac même, suivant les autres. Le Tigre reçoit,
à gauche, de nombreux cours d'eau (Batman-sou, Yezid-Khané,
Pagesch), et à droite, la rivière de Merdin; après
sa jonction avec la rivière de Pagech, il se dirige vers le Sud-Est
jusqu'au mont Tcha-Ap'i, où finit le Plateau arménien et
où il prend, sur la gauche, le Khaboras ou Khobar; continuant toujours
en ligne droite, il atteint Mossoul ,
en Irak;
6° la contrée de Van, dont le
lac reçoit de nombreux cours d'eau, dont
le plus important est le Khôchab;
7° le groupe du Zagros et des montagnes
du Vasbouragan, lesquelles divisent les eaux de Van et du Tigre, à
l'Ouest, de l'Aras et d'Ourmiah à l'Est. Ce lac d'Ourmiah reçoit
une partie des eaux de l'Azerbaidjan.
Climat, flore et
faune.
Bien que la position géographique
de l'Arménie comporte le climat des zones tempérées,
le froid qui y règne pendant huit mois de l'année (d'octobre
à mai) est beaucoup plus sensible que celui qui se fait sentir dans
des régions plus septentrionales de l'Europe
: dans la Haute-Arménie, la neige tombe
sans discontinuer durant cette période; à Erevan ,
le thermomètre descend à -32°C. Mais quand viennent les
chaleurs, elles sont telles que les céréales d'Europe mûrissent
en deux mois (à Erevan, il y a plus de + 37°C pendant les quatre
mois d'été).
Il faut remarquer aussi que les plaines
fertiles sont à des hauteurs très variables et que, par suite,
les conditions de la vie animale varient parfois de province à province.
La végétation
est riche : on cultive le froment, le seigle,
l'orge, la vigne, l'abricotier,
le prunier, le grenadier, le pommier,
le poirier, le pêcher,
le mûrier, le melon et la pastèque; dans quelques endroits
croissent l'olivier, le caroubier, le figuier, le cotonnier, le sésame,
le tabac; ailleurs, on trouve des plantes médicinales et tinctoriales.
-
Le
plateau arménien au début du XXe
siècle : caravane aux environs d'Erevan.
Les bords des rivières
et des étangs sont peuplés d'oiseaux
aquatiques : arôs, cygne ordinaire, geai,
courlis, oie et canards sauvages, etc. La bécasse, la caille, la
perdrix, le faisan, le moineau abondent, et
les mammifères sauvages ou domestiques
sont nombreux : gazelles à longues cornes,
sangliers, loups, renards,
chacals,
onagres, lynx, etc.
L'Arménie est riche en bétail.
Le miel des provinces méridionales est savoureux et, quant aux poissons,
ils pullulent, paraît-il, dans les bassins lacustres. Signalons,
parmi les espèces entomologiques, un gros scorpion, très
nuisible, et des moucherons d'Erevan
et du Kurdistan, dont les tourbillons épais obligent les habitants
à fuir, l'été, dans les montagnes.
(Maxime
Petit).
Nous les compléterons ces renseignements
par les lignes suivantes empruntées à Elisée Reclus.
«
L Arménie, dit-il, est un des pays de l'Asie occidentale où
les arbres fruitiers donnent les produits les plus savoureux et où
les botanistes croient avoir retrouvé la patrie d'espèces
nombreuses, entre autres la vigne et le poirier. [...] Dans l'intérieur
des terres, les montagnes sont presque toutes dépouillées
de végétation arborescente; on ne voit que rochers et pâturages.
Maint district n'a d'autre combustible que la bouse de vache Les fauves,
qui appartiennent aux mêmes espèces que ceux des montagnes
de Transcaucasie, manquent de retraites sur ces espaces nus ou gazonnés;
presque toutes les pentes sont le domaine des bergers et de leurs moutons
à grosse queue, gardés par des chiens à demi sauvages,
plus dangereux souvent que l'ours ou le loup. Les chevaux sont de belle
race, mais ils le cèdent en force aux chevaux turkmènes et
en grâce des mouvements aux animaux persans; quoique pleins de feu,
ils sont toujours d'une extrême douceur Les pâtis de l'Arménie
turque, plus herbeux que ceux de la Perse, à cause de la plus grande
humidité de l'air et de l'abondance des sources, nourrissent des
milliers de bêtes qui servent à l'alimentation de Constantinople
et des nombreuses cités de l'Asie Mineure. »
Economie.
Après plusieurs années de
croissance économique à deux chiffres, l'Arménie est
confrontée à une grave récession économique
avec un PIB en baisse d'au moins 15% en 2009, malgré d'importants
prêts accordés par des institutions multilatérales.
La baisse marquée dans le secteur de la construction et les envois
de fonds des travailleurs expatriés (en particulier en Russie ),
sont les principales raisons de la crise. Dans l'ancien système
de planification centrale soviétique, l'Arménie, relativement
pauvre en matières premières et surtout en ressources énergétiques,
avait élaboré un secteur industriel moderne : elle produisait
des machines-outils, des textiles et d'autres biens manufacturés.
Après sont accession à l'indépendance, l'Arménie
est passée à l'agriculture à petite échelle,
s'éloignant ainsi des grands complexes agro-industriels de l'ère
soviétique.
Depuis l'éclatement de l'Union
soviétique
en 1991, l'Arménie a fait des progrès dans la mise en oeuvre
des réformes économiques : politique des prix réformée,
politiques budgétaires prudentes. Le pays a réduit la pauvreté,
ainsi que l'inflation. Il a stabilisé sa monnaie et privatisé
les entreprises les plus petites et moyennes entreprises. Mais l'isolement
géographique, un socle d'exportations étroit et les monopoles
omniprésents dans les secteurs d'activité importants ont
rendu l'Arménie particulièrement vulnérable à
la forte détérioration de l'économie mondiale et le
ralentissement économique en Russie. Le conflit avec l'Azerbaïdjan
à propos du Haut-Karabakh (région de peuplement arménien
enclavée) a contribué à un déclin économique
grave au début des années 1990. Les frontières de
l'Arménie avec la Turquie et l'Azerbaïdjan
restent fermées.
-
Erevan
et le mont Ararat.
L'Arménie est particulièrement
tributaire de la Russie, dont dépendent
encore la plupart des infrastructures clés, en particulier dans
le secteur de l'énergie. Ainsi, le système de distribution
d'électricité a été privatisé en 2002
et acheté par le RAO-UES russe en 2005. La construction d'un pipeline
pour transporter le gaz naturel de l'Iran à l'Arménie a été
achevée en décembre 2008, mais il est peu probable d'importantes
quantités de gaz circule à travers, jusqu'à ce que
la rénovation de la centrale thermique d'Erevan
soit achevée. L'Arménie possède des gisements de minéraux
(cuivre, or, bauxite). La fonte, le cuivre brut et d'autres métaux
non ferreux sont les meilleurs atouts à l'exportation.
Le grave déficit commercial
du pays a été quelque peu compensé par l'aide internationale,
les transferts des Arméniens travaillant à l'étranger,
et les investissements directs étrangers. L'Arménie a rejoint
l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en janvier 2003. Le gouvernement
a apporté quelques améliorations dans l'administration fiscale
et douanière ces dernières années, mais les mesures
anti-corruption ont été inefficaces et la récession
économique a entraîné une forte baisse des recettes
fiscales et forcé le gouvernement à emprunter auprès
de la Russie, du FMI et d'autres institutions financières
internationales.
![](livreh.gif) |
Collectif,
Merveilles
d'Arménie, Sigest, 2009. - Les
étrangers appellent l'Arménie, 'Musée à ciel
ouvert'. Cette encyclopédie est
un guide très particulier qui chemine dans les quatre 'salles' de
ce musée : Antiquité, Moyen
âge et christianisme, Nature
et mode de vie et Epoque moderne. Les quatre-vingts 'Merveilles' présentées
dans ce volume sont très précieuses au lecteur arménien.
C'est probablement pour cette raison, que la maison d'édition a
choisi un titre assez lyrique - 'Merveilles'. Néanmoins il faut
aussi prendre en considération que le peuple arménien est
très fier de ses merveilles dont la plupart ont trouvé honorablement
leurs places dans la culture mondiale. Dans cette encyclopédie nous
trouvons des patrimoines qui sont inhérentes à l'histoire
des Arméniens mais qui se trouvent actuellement sur le territoire
historique de l'Arménie, en Arménie occidentale, (la Cathédralede
la Sainte Croix d'Aghtamar, le canal de Sémiramis, la cathédrale
d'Ani, le lac de Van, etc.). (couv.).
Claire Mouradian, L'Arménie,
Presses universitaires de France (QSJ?), 2009.
Collectif,
Les
douze capitales d'Arménie, Somogy éditions d'art,
2010.
Collectif,
Arménie
Géorgie, Karabagh, Peuples du monde (Ed. de l'Adret),
2009.
Collectif,
Contes
d'Arménie : épopée, récits et légendes
populaires, Vilo Jeunesse, 2006.
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![](web.gif) |
Site
NetArménie.com.
Site
des Nouvelles d'Arménie
(magazine).
Page
sur l'Arménie
du site Les Bourlingueurs.
Page
sur l'Arménie
du site L'aménagement
linguistique dans le monde (Université
de Laval, Canada).
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