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Maskelyne
(Nevil). - Astronome né à Londres
le 6 octobre 1732, mort à Greenwich le 9 février 1811. L'éclipse![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Arrivé à Sainte-Hélène, il se hâta d'essayer le nouvel instrument, et fut bien étonné d'y trouver des irrégularités qui surpassaient de beaucoup la petite parallaxe qu'il se proposait de déterminer. Il en chercha la cause et vit, ou crut voir, que ces anomalies tenaient à la manière dont le fil à plomb était suspendu. Ce récit tiré de ses mémoires offre quelque obscurité; l'auteur ne nous dit pas quelle était cette suspension, si elle était celle que Graham avait employée pour le secteur de Bradley et pour celui de Le Monnier; on concevra bien qu'elle ait donné de fausses distances zénithales; mais, on ne verra pas aussi clairement comment d'un jour à l'autre les distances de la même étoile pouvaient varier si brusquement, car elles suivent une marche très uniforme dans les observations de Le Monnier et dans ce que nous connaissons des observations de Bradley. Si nous en croyons Bradley, les observations
qu'il a supprimées n'étaient pas moins régulières, puisqu'elles étaient
si conformes à la marche de l'aberration |
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Que Maskelyne soit
ou non l'auteur de la suspension que Lalande
attribue à Bird; que Maskelyne ait employé dans
l'intervalle cette plaque avec son entaille, que Lalande a vue au secteur
de Greenwich, il est toujours à croire que le malheur arrivé au secteur
de Sainte-Hélène réveilla l'attention de l'artiste et nous procura la
suspension actuelle, bien supérieure aux précédentes, quoiqu'elle ne
paraisse pas encore à l'abri de toute objection. Bien déterminer le centre
d'un secteur; faire que le fil, qui a toujours une épaisseur de plusieurs
secondes, tourne exactement autour de ce centre, ou couvre toujours ce
centre de la même manière dans toutes les positions, de cet instrument,
sera toujours un problème, sinon insoluble, au moins très difficile.
Cette amélioration, en la supposant même imparfaite, serait déjà une
chose plus importante que toutes les recherches que se proposait Maskelyne.
En se distribuant sur les diverses parties du Globe, les astronomes s'étaient
précautionnés contre le hasard qui nous a privés des observations de
Sainte-Hélène et de Pondichéry. Le passage de Vénus fut observé dans
des stations assez éloignées les unes des autres, pour qu'on en ait pu
déduire la parallaxe du Soleil d'une manière plus approchée que par
tous les moyens employés jusqu'alors.
Dans ses deux traversées, Maskelyne essaya
toutes les méthodes qu'on avait proposées pour le problème des longitudes Deux ans après son
voyage à saint-Hélène, en 1763, Nevil Maskelyne fut envoyé Ã
la Barbade pour y suivre la marche du nouveau chronomètre d'Harrison.
Puis, il remplaça
Bliss en 1765 Ã l'observatoire
de Greenwich. LÃ , pendant quarante-sept ans, Maskelyne observa
le ciel avec des soins et une exactitude dont il existait peu de modèles.
Il est vrai qu'il avait à sa disposition des instruments supérieurs Ã
tous ceux de ses contemporains; mais ce qui n'est dû qu'à lui seul, c'est
le scrupule qu'il mit à noter avec plus de précision les instants des
passages Il faut pourtant que ces attentions si recherchées aient encore laissé subsister quelque vice caché et qu'il y ait quelque chose d'arbitraire dans la manière dont l'on estime le passage des astres au fil. Toutes les observations faites par Maskelyne lui-même présentent l'accord le plus satisfaisant. La marche de la pendule paraît parfaitement constatée. Les observations de son adjoint ne s'accordent pas moins bien entre elles, mais elles ne donnent pas pour la correction de la pendule bien précisément la même quantité; c'est du moins ce que Maskelyne nous apprend lui-même, et ce qui le détermina à congédier l'adjoint, dont la manière de compter les secondes de l'horloge en observant, ne pouvait s'accorder avec la sienne propre. Ces obligations déjà si grandes ne sont pas les seules que l'on doit à Maskelyne; jusqu'à lui toutes les observations restaient enfouies dans les observatoires où elles avaient été faites; elles y étaient comme non avenues; tant pour les astronomes qui n'étaient pas à portée de consulter ces dépôts, que pour l'observateur lui-même, que ses occupations de tous les jours et de tous les instants empêchent de tirer de ce qu'il a vu toutes les conséquences qui pourraient s'en déduire; car, à moins qu'il ne soit un autre La Caille, et jusqu'ici l'exemple est unique, il paraît bien difficile qu'un astronome se livre à un cours non interrompu d'observations, et qu'il trouve ensuite le temps ou le courage d'exécuter tous les calculs qu'elles entraînent, et de les comparer aux Tables pour en modifier ou en refondre tous les éléments. Les observations de Flamsteed,
commencées en 1676, parurent pour la première fois, et d'une manière
fort incomplète, en 1712 par une faveur particulière du Prince Georges,
mari de la reine Anne. Les héritiers de Flamsteed en donnèrent une édition
plus ample en 1725. Les observations de même genre, commencées à Paris
en 1683, et continuées pendant plus de trente ans, n'ont jamais vu le
jour. On n'a rien de celles de D. Cassini. Celles
de Halley, continuées sans interruption depuis
1720 jusqu'en 1742, sont et resteront toujours inédites. Ces collections,
ignorées de tous pendant qu'elles pouvaient être utiles, auraient beaucoup
moins de prix si elles étaient publiées aujourd'hui, parce qu'elles ne
pourraient soutenir la comparaison avec celles qu'on fait faire maintenant.
Le Monnier eut le crédit de faire imprimer au Louvre quelques cahiers
de ses observations; mais c'était encore une faveur particulière du gouvernement,
qui ne l'étendit pas à La Caille, qui, pour
donner à ses contemporains ses Fundamenta Astronomiae, ne trouva
d'autre moyen que de calculer un ou deux volumes d'Éphémérides. Par
cet emploi si déplorable d'un temps si précieux, il acheta quelques exemplaires
d'un volume de 250 pages, dont il fit présent aux astronomes de son âge.
Son Ciel austral, ne parut qu'après sa mort; ses autres observations
restèrent inédites, et la manière dont elles ont été calculées pour
former ce Catalogue Les observations, de Bradley n'ont paru que 40 ans après sa mort, malgré les sollicitations réitérées de Maskelyne. En fondant les observatoires, on oublia un article bien plus essentiel que ce luxe de constructions, déployé si vainement dans quelques-uns de ces bâtiments. On suivit les idées des architectes de préférence à celles des astronomes. On fit beaucoup de dépenses, au moins inutiles, et l'on négligea d'assigner les fonds qui auraient subi à l'impression successive des observations de chaque année. Si cet oubli est enfin réparé, c'est à Maskelyne qu'on le doit; il obtint du conseil de la Société royale de Londres, que toutes ses observations seraient imprimées par cahiers, et d'année en année. Ces cahiers forment aujourd'hui quatre volumes in-folio. Réunis aux deux volumes de Bradley, qui ont enfin paru en 1798 et 1805, ils forment un recueil précieux, qui s'accroîtra continuellement, et dans lequel tous les astronomes pourront puiser, comme ils ont déjà fait pendant trente ans, dans les cahiers de Maskelyne. C'est ainsi qu'ont été perfectionnées en France et en Allemagne, les Tables du Soleil, celles de la Lune et celles de toutes les planètes. Ainsi, l'on a pu dire avec vérité que si, par quelque grande révolution, les sciences venaient à se perdre, et que ce Recueil fût seul conservé, avec quelques méthodes de calcul, ou y trouverait de quoi reconstruire presque en entier l'édifice de l'astronomie moderne; avantage qui n'appartient qu'à cette collection unique, parce qu'au mérite d'une précision rarement atteinte et non encore surpassée, elle réunit le mérite d'une série non interrompue depuis l'an 1750, première époque des observations qui laissent bien peu à désirer. Un tel exemple ne pouvait manquer d'être imité; et déjà plusieurs gouvernements ont donné à leurs astronomes les moyens de mettre en commun les fruits de leurs veilles. Si ce bel exemple laisse encore quelque
chose à regretter, c'est que les étoiles y sont généralement trop négligées.
Bradley lui-même, auquel on doit un célèbre
catalogue, qu'il n'a pourtant pas formé lui-même, Bradley n'a pas fait
tout ce qu'on était en droit d'attendre d'un astronome aussi habile, placé
si favorablement, et avec un adjoint sur lequel il pouvait se reposer des
observations secondaires qui auraient grossi son catalogue. A cet égard,
Maskelyne a fait beaucoup moins encore; se bornant à trente-quatre étoiles Maskelyne ne quittait plus son observatoire;
il y resta en 1769, quoique l'observation qu'il pouvait y faire du passage
de Vénus ne pût être qu'incommode mais il rédigea des instructions
pour les astronomes voyageurs. Une seule fois , en 1774, il s'était permis
de s'absenter, et c'était pour aller mesurer l'attraction Ce géomètre a trouvé que la densité
de la Terre L'attraction des montagnes peut à présent passer pour un fait constaté. Mais quelle conséquence en pouvons-nous tirer? Peut-on, dans chaque lieu dont on veut déterminer la latitude, se placer à une distance où l'attraction cesse d'être sensible? Peut-on examiner la densité de chacune des couches, déterminer, la résultante de toutes les forces, et sa direction? Au lieu d'être étonné de trouver deux ou trois secondes, dont les latitudes, éloignées comme celles de Paris et d'Evaux, s'écartent de ce qu'elles devaient être dans un ellipsoïde parfait? Ne devrions-nous pas nous féliciter de ce que les écarts ne sont pas plus grands, et tels que ceux qui nous ont été prouvés par les degrés de Mudge en Angleterre, par les deux arcs de Suède, et par quelques opérations plus modernes en Italie? Nous voulons partout des figures régulières, des sphères d'abord, puis des sphéroïdes elliptiques dont la densité aille croissant selon une loi mathématique, depuis la surface jusqu'au centre. Reconnaissons que toutes ces suppositions étaient de toute nécessité chacune à l'époque où elle a été faite. C'est ainsi qu'en astronomie on a supposé d'abord des moyens mouvements, puis des excentricités, des ellipses, et enfin des perturbations impossibles à calculer rigoureusement. Avouons, écrit ici Delambre, que nos suppositions sont arbitraires, qu'elles reposent au fond sur l'idée d'une fluidité parfaite à l'origine; fluidité qui déjà paraît plus que douteuse pour la Lune. Nous pouvons, jusqu'à un certain point, saisir les phénomènes en gros, nous ne pourrons jamais les expliquer dans tous les détails. Nous connaissons la grandeur et la figure de la Terre, autant qu'il est nécessaire pour les opérations les plus délicates de l'astronomie de la géographie et de la navigation. Que pouvons-nous raisonnablement demander de plus? Ne considérons les incertitudes qui nous restent, et que jamais nous ne pourrons éclaircir, que comme des aiguillons qui nous empêchent de retomber dans l'engourdissement; saisissons les occasions qui s'offriront pour diminuer un peu l'amplitude de ces oscillations qui sont peut-être arrivées à un état qui ne changera que par les variations qui naissent des défauts des instruments ou des inadvertances des observateurs. Mais que ces recherches ne nous coûtent ni plus de temps, ni plus de peines qu'elles n'en méritent. Que les habitants des observatoires se résolvent à être entièrement astronomes, qu'ils regardent le Ciel plus que la Terre, et s'étudient à nous révéler ce qui peut encore nous être caché, et qu'eux seuls peuvent découvrir; le nombre des planètes et des comètes, les mouvements généraux et particuliers des étoiles.La question de la densité relative de la Terre et de l'eau n'est pas nouvelle; l'attraction des montagnes était un corollaire bien simple du principe de l'attraction réciproque de toutes les parties de la matière. Newton, le premier, énonça nettement ce principe. Il eut aussi la première idée de ce rapport de pesanteur spécifique, qu'il avait estimé d'une manière singulièrement heureuse. Son raisonnement était que si la Terre était moins dense que l'eau, elle en sortirait par sa légèreté, ce qui supposait qu'elle y fût entièrement plongée, et tout à fait distincte. Les matières les plus denses doivent se porter naturellement vers le centre, et de l'accroissement de densité vers ce point, il avait conclu que la masse entière de la terre est cinq ou six fois plus dense que si elle était formée d'eau. C'était encore supposer cette fluidité parfaite dont il est encore permis de douter. Ne serait-ce pas ici le cas de dire, comme Fontenelle le disait de D. Cassini, mais avec plus de justesse, un astronome si subtil est presque un devin; on dirait qu'il prétend à la gloire d'un astrologue. Histoire, Astr. moderne, tom. II, pag. 739. Maskelyne calcula les observations des astronomes que l'Angleterre avait envoyés en diverses parties du globe pour le passage de Vénus. II en déduisit pour parallaxe du Soleil la même quantité que Du Séjour trouvait par la totalité des observations publiées jusqu'alors; c'est-à -dire, 8",8. Nous croyons cette parallaxe un peu trop forte. Maskelyne employait trop peu d'observations; Du Séjour en employait trop, et n'en avait pas assez pesé la bonté relative. Mason, qui avait
été l'assistant de Maskelyne à ,Greenwich, envoyé avec Dixon
pour la fixation des limites des États-Unis Non content d'avoir mis tous les astronomes en possession des Tables lunaires de Mayer, il augmenta encore la précision de ces Tables, en les faisant comparer par Mason à 1200 observations de Bradley, qui servirent à mieux déterminer quelques équations employées déjà par le premier auteur, et à introduire de nouvelles équations simplement indiquées par Mayer, qui n'avait pu en déterminer les coefficients, parce qu'aucun recueil d'observations n'avait encore été publié. On avait élevé trop légèrement quelques doutes sur la position respective des observatoires de Paris et de Greenwich, et l'on proposait un moyen pour dissiper ces doutes, Maskelyne, consulté sur ce projet, démontra solidement que les doutes n'étaient pas fondés, mais il approuva l'opération demandée, parce qu'elle devait fournir une preuve de son assertion, et l'événement la justifia. Malgré tous les soins qu'il se donnait
pour la conservation des instruments, dont, il faisait un si fréquent
et si excellent usage, malgré tout ce qu'il avait pu y ajouter d'améliorations
que lui fournissaient ses propres lumières et sa longue expérience ainsi
que les progrès de l'optique et de l'horlogerie; dans les derniers temps
de sa vie, il commença à soupçonner qu'ils n'avaient plus leur exactitude
primitive, et que son quart de cercle, en particulier, avait pu contracter
des défauts qui rendaient les déclinaisons moins sûres. D'autres astronomes
avaient fait et publié des remarques semblables. Les vérifications qu'il
aurait pu tenter sur l'instrument eussent été difficiles et incertaines.
Il voulut remplacer ce quart de cercle par un cercle entier, dont l'exécution
fut confiée au célèbre Troughton; mais il
n'eut pas la satisfaction de le mettre en place. Son successeur,
John
Pond, n'a commencé à s'en servir qu'en juin 1812. Il y a joint une
lunette méridienne nouvelle; autre chef-d'oeuvre du même artiste. On
parle d'un nouveau secteur destiné à remplacer le secteur de Graham,
avec lequel Bradley a fait ses deux immortelles
découvertes de l'aberration et de la nutation. On ne parle plus qu'avec
une espèce de dédain de la lunette méridienne de Bird, si universellement
admirée pendant tant d'années. Ainsi, les trois principaux instruments
de Greenwich se trouveront renouvelés. On attend beaucoup de ceux qui
les ont remplacés. Nous leur croyons des avantages réels, mais n'exagérons
rien, attendons ce qu'on aura pu faire pour constater bien clairement ces
avantages et nous en donner la mesure. En ce genre, on passe trop souvent
de l'admiration au mépris. On s'est exagéré l'avantage des lunettes,
des micromètres et des héliomètres. En France, on s'est exagéré le
mérite très précieux du cercle répétiteur de Borda;
en Angleterre, on a beaucoup vanté, puis dénigré le beau secteur de
Ramsden. On a donné comme la merveille des merveilles,
les cercles de Reichenbach, et puis on a prétendu que ces cercles pouvaient
avoir des erreurs constantes de plusieurs secondes.
Pour vérifier les ascensions droites des
étoiles, il commença par les comparer toutes Ã
a
de l'Aigle Longtemps après, il trouva que cette correction n'était pas fondée, et il en avertit les astronomes, qui, depuis tant d'années, faisaient tous leurs calculs sur les ascensions droites mal à propos diminuées. Lalande examina la question, et il crut devoir ajouter 5" au lieu de 3", 8. Par d'autres moyens, (Astr. tome II, page 254), j'ai vérifié moi-même la nouvelle remarque de Maskelyne. Mais ces variations de 0",25 ou 0",33 sur les ascensions droites des étoiles fondamentales ont inquiété les astronomes et altéré tant soit peu la confiance qu'ils avaient aux déterminations de Maskelyne. Tout nouvellement, Pond vient de faire une correction de 0", 31 aux ascensions droites qu'il avait déterminées deux ans auparavant. Que conclure de ces variations? Ne serait-ce pas que malgré tous nos soins, malgré les progrès annoncés dans l'art de construire et de diviser les instruments, ces petites quantités sont de l'ordre des erreurs jusqu'à présent inévitables de toutes les observations? Maskelyne mourut le 9 février 1811, âgé de plus de 78 ans. Outre les ouvrages que nous avons mentionnés, il a publié divers Mémoires dans les Transactions philosophiques et dans son Nautical Alamanac. Nous citerons particulièrement celui qu'il a mis dans les Transactions de 1777 sur un nouveau micromètre prismatique, et qui a donné lieu à des réclamations de la part de Boscovich et de Rochon. Les manuscrits ont été remis à M. Vince, qui s'était chargé de les rendre publics, mais rien n'a paru jusqu'ici (juin 1822). Il est à craindre que ces manuscrits, ne soient des ébauches imparfaites car les occasions ne manquaient pas à l'auteur pour faire paraître ce qu'il aurait pu terminer. Maskelyne a été pendant 9 ans l'un des huit associés étrangers de l'Institut il était en correspondance avec tous les astronomes de l'Europe, qu'il considérait comme ses frères et qui le respectaient comme un doyen dont les travaux leur avaient été éminemment utiles. II n'a laissé qu'une fille, Mlle Marguerite Maskelyne, à qui l'auteur de cette histoire a dû les renseignements qu'il n'aurait pas trouvés dans les livres, et qu'il a fait entrer dans son Éloge historique inséré dans le tome 8 des Mémoires de l'Institut pour 1811, classe des sciences Mathématiques et physiques.Maskelyne en 1783 et Chladni en 1819 étaient enclins à regarder les étoiles filantes ![]()
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