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La Belle Ferronnière,
une des maîtresses supposées de François
Ier, était, au dire de Guyon,
une bourgeoise de Paris
et reçut son nom soit de la profession de son mari, qui aurait été
ferronnier ou marchand de fer, soit simplement du nom de ce mari, qui se
serait appelé Ferron. Cet homme feignit, dit-on, d'autoriser les
désordres de sa femme, et imagina un odieux moyen de se défaire
à la fois d'elle et de son amant. En effet, la belle Ferronnière
en mourut bientôt et, ajoute la légende, François Ier
ne guérit jamais. Cette femme a donné son nom à une
parure consistant en une bandelette qui entoure la tête et qui ferme
sur le front avec un camée ou une pierre précieuse. |
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