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Littérature espagnole
La littérature espagnole au Moyen âge
et au début de la Renaissance
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Le Moyen Âge
L'âge d'or : XVIe s.; XVIIe s. Le XVIIIe s. Le XIXe s.
Si l'on excepte la vieille littérature latine, dont le principale représentant, après la chute de Rome, est Isidore de Séville et dont l'oeuvre remonte aux temps du Royaume wisigothique, c'est par l'histoire de l'art dramatique qu'il conviendrait de débuter l'histoire de la littérature en Espagne. Ce théâtre est né des débris du paganisme romain conservés par le peuple au milieu des sociétés chrétiennes. Au VIe siècle, ces débris formaient un ensemble d'amusements qui étaient comme la représentation populaire des pompes de l'ancien culte. Le peuple tenait par habitude et par besoin à ces spectacles, dont il avait peut-être oublié l'origine. Le clergé, dont les efforts ne parvinrent jamais à les proscrire, eut l'idée de les sanctifier en les appliquant aux fêtes du culte catholique : les représentations dramatiques eurent lieu dans les églises, en présence et avec la coopération des ministres du culte. 

Ce ne furent d'abord que des dialogues rustiques, où des bergers s'entretenaient des fêtes que l'on célébrait. La solennité qui donnait lieu à ces essais de compositions dramatiques était la fête de Noël; elle se prêtait facilement à la représentation de scènes religieuses, comme la visite des bergers à l'étable, et l'adoration des Mages. Ces récits dialogués étaient écrits en mètres lyriques, accompagnés de chants rustiques qui répondaient à nos noëls. Bientôt on appliqua ces sortes de drames à des sujets tirés de la vie commune, qui ouvrirent à l'art naissant une voie nouvelle. Les jeux scéniques se divisèrent en deux classes : les représentations pieuses et les représentations profanes. Les deux genres furent cultivés pendant toute la durée du théâtre espagnol avec le même zèle, un succès égal, et par les mêmes auteurs.

Mais il faut toutefois attendre l'apparition de la langue espagnole (le roman espagnol), à la fin du XIe siècle, et surtout au XIIe, pour que commence véritablement le développement de la première littérature espagnole, une période de formation qui va durer jusqu'au début du règne de Charles-Quint.

Le XIIe siècle. 
La nécessité où se trouvèrent les chrétiens, réfugiés depuis le VIIIe siècle dans les montagnes des Asturies, d'employer toute leur énergie à se défendre contre les Arabes, et l'état de misère où ils étaient tombés dans ces régions sauvages, expliquent l'extrême lenteur des développements du roman espagnol. Ce n'est que vers le milieu du XIIe siècle qu'on en trouve les premiers rudiments connus, l'acte des Fueros d'Avilès. Après cet unique échantillon du premier bégayement de la langue vient le Poème du Cid. Les poésies anonymes de cet âge reculé n'offrent pas le même intérêt que la chanson du Cid. De ce nombre sont les pièces suivantes : la Vie du roi Apollonius; la Vie de sainte Marie l'Égyptienne; l'Adoration des rois mages. Il faut arriver jusqu'à l'an 1223 pour rencontrer un poète connu, Gonzalo de Berceo, qui commença par célébrer le patron de son couvent dans un poème de la Vie de saint Millan et dont nous avons aussi la Vie de sainte Oria et de saint Dominique de Silos, los Miracros de Nuestra Señora, ouvrage fort admiré de Ticknor, historien de la littérature espagnole, mais auquel nous préférons, pour l'élévation et le pathétique, El duelo de la Virgen, récit de l'agonie de Jésus sur la croix. Toutes les poésies de Berceo sont écrites en stances monorimes de 4 vers de 14 syllabes, dits alexandrins. Vers la même époque, Juan Lorenzo Segura, moine comme Berceo, a pris pour sujet la Vie d'Alexandre le Grand, d'après le roman français de Gautier de Chastillon : il en fait un baron du XIIIe siècle, qui marche à la conquête de la Perse accompagné des douze pairs, non sans avoir été préalablement armé chevalier.
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Poésie lyrique populaire

Les traditions vraies ou supposées du peuple espagnol, négligées par les imitateurs érudits de la Provence et de l'Italie, ont inspiré néanmoins un des plus rares textes de la poésie lyrique moderne. La défaite de Charlemagne dans le défilé de Roncevaux, la perdida de España, les luttes de Fernand Gonzalès et du Cid contre les Arabes, la catastrophe des Infants de Lara, la chute d'Alvaro de Luna, toutes ces histoires merveilleuses ont trouvé des chantres inconnus pour les célébrer avec la foi, l'émotion naïve, les couleurs vraies, qui forment les qualités essentielles de la poésie. Le peuple s'empara de ces beaux sujets abandonnés par les poètes de profession; ainsi naquirent ces chants populaires, ordinairement lyriques, quelquefois épiques, connus sous le nom de romances. Ils finiront par être remarqués des poètes artistes, vers l'époque des extravagances du cultisme (XVIIe s.). Alors les romances anciennes, les seules bonnes, seront remaniées par des écrivains qui s'imagineront les embellir en y ajustant les souvenirs de la mythologie et de l'histoire grecque, ou les mignardises de l'école de Pétrarque

Le XIIIe siècle. 
Au XIIIe siècle, la prose est plus remarquable que la poésie. Le recueil de lois d'Alphonse le Savant, connu sous le nom des Sept parties, nom tiré des sept divisions de l'ouvrage, est une compilation formée des Décrétales, du Code de Justinien et des lois des Wisigoths. Alphonse eut sans doute de nombreux collaborateurs, mais on s'accorde à lui attribuer la rédaction de l'ouvrage. On y trouve un système complet de législation et de police ecclésiastique et civile; c'est le résumé de la sagesse politique du siècle en Espagne, en ce qui touche les devoirs réciproques d'un souverain et de ses sujets. Le style a eu rarement son égal en pureté, en nerf et en élévation. Parmi les antres ouvrages d'Alphonse X, la Chronique générale d'Espagne est le premier travail de ce genre qui ait été fait dans une langue romane : peu d'anciens monuments sont plus curieux au point de vue purement historique, et comme résumé des inventions poétiques qui se sont mêlées à l'histoire. Les Tables Alphonsines ont longtemps et consultées avec fruit. La cour de Castille était alors fréquentée par les Troubadours : le roi paya son tribut à la mode, en composant quelques poésies sur leur modèle. Les Chants du roi Alphonse sont écrits en dialecte galicien.

Le XIVe siècle. 
La littérature, bien qu'entravée alors dans son développement par les troubles politiques de la Castille, continue à exploiter avec succès le fonds national. Deux auteurs dominent alors tous les autres, Juann Manuel et Juan Ruiz

Le principal ouvrage de Jean Manuel la seul imprimé, a pour titre le comte Lucanor : c'est un recueil d'apologues en prose qui ont pour but la démonstration d'un aphorisme de morale, et en même temps la solution d'un problème de conduite. L'ouvrage est remarquable par un badinage sérieux qui n'appartient qu'aux auteurs Espagnols. La morale y est revêtue d'une forme sensible et parlant à l'imagination en même temps qu'à la raison et à la mémoire. 

Juan Ruiz, archiprêtre de Hita, tint pour le moins autant à rire aux dépens de ses contemporains qu'à les corriger. Il a jeté le sel à pleines mains dans ses poésies, qui forment environ 6000 vers de mètres variés, et d'une forme toute provençale. Les Espagnols le nomment leur Pétrone; mais il ressemble plutôt à Rabelais. Chez lui, le conte, l'apologue, l'hymne religieux, la pastourelle se mêlent à la fiction burlesque. Ce désordre apparent cache un sens profond, ainsi qu'il a pris soin d'en avertir dans un prologue en prose, et le fond repose sur une histoire vraie, qui est peut-être celle de l'auteur lui-même.

L'heureuse impulsion que la langue et la littérature espagnoles avaient reçue d'Alphonse X ne dura point; on peut même noter un mouvement en arrière à partir du règne de Pierre le Cruel. Les vers d'Ayala sont inférieurs, pour le goût et le style, à ceux de Berceo, de Lorenzo Segura et de Jean Ruiz, et la prose de sa Chronique n'a aucun des agréments du style de la Chronique générale. L'El Rimado de Palacio d'Ayala est une espèce de poème didactique, traitant des, devoirs du prince et des grands dans le gouvernement de l'État, entremêlé de satires sur les diverses classes de la société, et de réflexions morales et théologiques; on y trouve aussi des couplets en l'honneur de la Vierge. Ayala fit traduire en castillan un certain nombre d'ouvrages anciens, et, en particulier, l'Histoire romaine de Tite-Live. Il essaya de mettre à profit dans sa Chronique, qui s'étend du règne de Pierre le Cruel à celui de Henri de Transtamare, les exemples de l'historien latin, en prêtant à ses personnages des harangues et des lettres. Cette Chronique abonde en récits dramatiques de l'effet le plus pittoresque.

Nous ne saurions oublier ici le juif Rabbi Santo, de Carrion, qui florissait vers 1360. Parmi les ouvrages en vers mis sous son nom, deux sont authentiques : Consejos y documentos al rey D. Pedro, et Danza general de la Muerte. Dans le premier, le style offre un commencement d'élégance. Le second traite, d'après un original français, cette allégorie funèbre si chère au  Moyen âge, la Danse des morts.

Citons encore un Poème de Joseph, probablement composé par un Maure, resté en Castille après l'expulsion de ses compatriotes; il est en langue castillane, mais écrit en caractères arabes. Le Joseph dont il s'agit est celui dont le Coran (chap. XI) renferme l'histoire plus courte et beaucoup moins dramatique que celle du Joseph de la Bible.

En résumé, les écrivains du XIVe siècle manquent encore d'élégance et d'harmonie, mais ils sont exempts de ces faux brillants qui dépareront plus tard la littérature espagnole, même à l'époque de sa gloire. L'aimable simplicité de leurs écrits, la naïveté forte et substantielle du style, en font aisément pardonner la rudesse.

XVe siècle. 
Le XVe siècle vit la réunion de l'Aragon et de la Castille, et la formation de la nationalité espagnole. Les esprits en reçurent un essor immense. La découverte d'un monde nouveau (La Découverte de l'Amérique) et l'arrivée des savants fugitifs de Constantinople, prise par les Turcs, amenèrent aussi un déploiement d'activité fertile en résultats de toute espèce. En littérature, toutefois, le XVe siècle a été un temps de préparation et de transition : l'Espagne cherche encore son identité, et, durant tout ce siècle, est dominée par la triple influence de l'Antiquité, de la Provence et de l'Italie.

Le marquis Henri de Villena, fidèle représentant des tendances érudites de son siècle, est moins remarquable comme auteur que comme initiateur et propagateur. II n'a composé que deux ouvrages originaux : l'Art de l'écuyer tranchant, et les Travaux d'Hercule, mais il fit passer dans la langue espagnole la Rhétorique de Cicéron, la Pharsale de Lucain, l'Enéide de Virgile et la Divine Comédie de Dante. Barcelone lui dut la restauration de l'Institut de la gaie science. Il s'occupait de philosophie, de mathématiques, d'astrologie, en même temps que de poésie et d'histoire, et sa science passa pour magie. Une précieuse bibliothèque qu'il avait formée fut brûlée après sa mort comme oeuvre du Diable

Le roi de Castille' Jean II favorisa aussi les lettres et les arts : il versifiait à l'imitation des Troubadours. Son exemple fit naître une foule de poètes. Un juif converti, Alphonse de Baena, fit des productions de ces rimeurs une collection devenue célèbre sous le nom de Cancionero, et qui montre que l'inspiration provençale animait alors toute la poésie castillane. On y trouve, en partie, les oeuvres du marquis de Santillana, initié par Villena aux règles de la poésie des Provençaux, qu'il imita dans les ouvrages de sa jeunesse (Canciones y Decires), dans ses Questions (Preguntas), mais surtout dans ses Serranillas ou Montagnardes véritable calque des pastourelles provençales. On doit noter aussi chez lui l'influence italienne, manifeste dans ses Sonnets. Il imita Dante dans une Comedieta de Ponza, le plus important de ses ouvrages, espèce de drame qui a pour sujet la bataille navale de ce nom, perdue par les rois d'Aragon et de Navarre contre les Génois. Le véritable talent du marquis de Santillana se montre surtout dans ses ouvrages originaux. Le tour sentencieux, particulier à la littérature espagnole; se rencontre dans deux compositions en vers du marquis, le Dialogue de Bias et de la Fortune, et le poème sur la chute du connétable Alvaro de Luna. Dans la première, l'auteur développe, avec une grâce qui n'exclut pas la vigueur, la doctrine des Stoïciens sur la vanité des choses d'ici-bas. Le plus caractéristique des ouvrages de Santillana est un recueil de Proverbes, formé pour l'instruction de l'héritier présomptif de Jean Il, et qui, renfermant cent couplets, porte quelquefois le nom de Centiloquio. Enfin, le connétable de Portugal ayant demandé à Santillana un exemplaire de ses poésies, il le lui envoya avec une Lettre en manière d'Introduction, qui contient un curieux résumé des principes de la gaie science, et une notice raisonnée sur tous les poètes espagnols antérieurs au marquis ou ses contemporains à l'étranger; cette Lettre forme le plus important document que nous ayons sur les premiers temps de la poésie espagnole, ainsi que sur la littérature de l'Europe méridionale au Moyen âge.

Le XVe siècle fut encore une époque d'érudition, d'imitation de l'Antiquité. Le cardinal Carillo de Albornoz, archevêque de Tolède, pendant un séjour en Italie, avait fondé à Bologne, en 1364, le collège de Saint-Clément pour les étudiants espagnols, et qui s'est maintenu jusqu'à l'époque contemporaine. II en résulta que la langue espagnole fut envahie par une foule de vocables latins, qui remplacèrent des termes plus anciens, la plupart tirés de l'arabe, et perdit, en outre, de la liberté de son allure, par la manie des écrivains à calquer les constructions du latin. Cette imitation étouffa l'élan poétique des auteurs, et le faussa en le dévoyant. Juan de Mena était né poète : on le voit à l'accent énergique de ses vers dès qu'il rencontre un des grands souvenirs de l'Espagne, et au sentiment fondamental qui inspira son Laberinto o las Trecientas; mais, étourdi de la renommée de Dante, il ne croit pouvoir mieux faire que de le prendre pour modèle : il imagine une Vision, où trois cercles, figurant le passé, le présent et l'avenir, tournent en touchant successivement aux sept planètes; les personnages principaux de l'histoire apparaissent devant lui, et la providence lui explique leurs aventures. On trouve, dans cette conception bizarre, quand le poète raconte le trépas de d'Avalos ou la mort tragique du comte de Niebla, des accents patriotiques qui sont demeurés populaires en Espagne. 

Jorge Manrique résista au torrent qui  poussait les poètes de son temps vers l'imitation étrangère. Son oeuvre magistrale est une élégie de 500 vers environ, monument élevé à la mémoire de son père, et où il comprend dans ses regrets beaucoup de personnages célèbres de son temps.

Parmi la foule de poètes qui parurent sous le règne de Jean II, et dont les poésies, dans le goût provençal, remplissent les Cancioneros de Baena, de Stuñiga, de Martin de Burgos, et le Cancionero general de Castille, nous mentionnerons Pedro Ferrus, Villasandino, Francisco Imperial, Rodriguez del Padron, Pedro Gomez de Manrique, Urrea Marias et Enamorado, et surtout Juan de Padilla, surnommé el Cartujano ( = le Chartreux), parce qu'il fut moine à la chartreuse de Santa-Maria de las Cuevas, à Séville. Disciple de l'école du marquis de Santillana, Juan de Padilla écrivit les Douze triomphes des douze apôtres, oeuvre qui, plus encore que le Labyrinthe de Juan de Mena, accuse cette intempérance d'imagination, cet abus du fantastique, qui deviendra si important dans la littérature espagnole.

Les prosateurs du XVe siècle, moins nombreux que les poètes, leur sont infiniment supérieurs : les esprits sont droits et les âmes vigoureuses. La plupart de ces prosateurs sont des hommes d'État ou des hommes de guerre, qui mettent à profit le repos de leur vieillesse ou les loisirs d'une retraite prématurée, pour transmettre  à la postérité leur jugement sur les humains et les choses  de leur temps. Fernand Gomez, médecin de la chambre de Jean II, est auteur d'un recueil de Lettres, sous le  titre de Centon epistolario, à cause du nombre de  105 lettres dont il est composé. Ces Lettres sont d'une  grande importance historique, et le style en est naturel,  incisif, et plein de saillies. On croit que ce n'est qu'un  pastiche sous un nom supposé. 

Fernand Perez de Guzman, neveu du chancelier Ayala et du marquis de Santillana, débuta par des poésies d'amour, puis écrivit des poèmes allégoriques sur les vertus cardinales, sur les sept  péchés capitaux, sur les sept oeuvres de miséricorde, tous d'un détestable goût. Il se montre mieux inspiré dans ses Eloges des hommes illustres de l'Espagne, prélude de son  meilleur ouvrage, Lignages et Portraits, qui sont 34 biographies des principaux personnages de son temps, à l'imitation des Hommes illustres de Plutarque. Ces portraits sont tracés en style grave, nerveux, concis, parsemé de réflexions vigoureuses et originales. Enfin Perez de Guzman a remanié et continué la Chronique de Jean Il,  de Juan de Mena. 

Alonzo de la Torre, qui vivait à la cour de Navarre, écrivit, pour l'instruction du prince de Viane, une oeuvre doctrinale, la Vision deleitable, allégorie où  figurent la Grammaire, la Logique, la Musique, l'astrologie, la Vérité, la Raison et la Nature; son but est de  déterminer la fin de chaque science par la nature des objets dont elle s'occupe. Le livre se divise en deux parties : la première traite des arts libéraux et des sciences naturelles; la seconde, de philosophie morale, économique et politique. Le style en est facile et assez élégant.

Fernando del Pulgar, chargé d'emplois importants sous Henri IV, secrétaire et historiographe de Ferdinand et Isabelle, a laisse la Chronique de ce règne et deux ouvrages estimés, les Claros varones de Castilla, et des Lettres adressées à la reine et à d'autres grands personnages; son style est simple, correct, concis, élégant; il peint les caractères en traits vigoureux, sans aigreur ni flatterie, et montre beaucoup de jugement et de raison. C'est l'écrivain de son temps qui dit les choses les plus sérieuses avec le plus de délicatesse, et les plus importantes avec le plus d'élégance.

Les prosateurs du XVe siècle montrèrent un goût particulier pour les travaux historiques. A côté des Chroniques déjà citées, il faut mentionner celle de don Pedro Niño, comte de Buelna, oeuvre de Gutierre Diaz de Gamea, et surtout celle d'Alvaro de Luna, composée par Alvarez Garcia de Santa-Maria, écrivain d'un mérite supérieur.

La tragi-comédie de la Célestine complète la revue générale de la littérature espagnole au XVe siècle. (E. Baret).

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