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Joseph II, empereur d'Allemagne

Joseph II est un empereur d'Allemagne (1765-1790), né le 13 mars 1741, mort le 20 février 1790. Fils aîné de François Ier et de Marie-Thérèse d'Autriche, il fut élevé par le comte (puis prince) Batthyany, officier brutal et ignorant, et par le père jésuite Veger; on le confia ensuite au père Weikard (1751), puis à un précepteur, Philippe de La Mine, aidé de plusieurs professeurs, Bourgignon, Leporini, Rosenthal, Freyssleben, Rajtaj, J. de Poeck, Bréguin, Baillon, le père Joseph Franz, Bartenstein, pédant diffus; il subit l'influence de Ch.-A. Martini, professeur de droit naturel, rationaliste qui lui inculqua les idées des philosophes français. L'instruction du jeune prince avait été superficielle; il embrassa avec ardeur les théories du droit naturel, élabora un système d'innovations emprunté au fébronianisme allemand et à la philosophie des Lumières française, et qu'on a appelé le joséphisme
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Joseph II.
Joseph II (1741-1790).

Joseph II était sentimental, idéaliste, d'esprit inquiet, agité, volontaire; il excellait dans les exercices gymnastiques, était très vif, incapable de rester en place; il avait un besoin d'activité continuelle et parfois désordonnée, sans grande ténacité, reculant devant les obstacles sur lesquels il s'était jeté; incapable d'obéir dans son enfance, il fut ensuite incapable de se dominer et de s'assujettir à une règle. Sa mère, pour lui donner l'expérience de la vie, le fit voyager. Sous le nom de comte de Falkenstein, il parcourut presque toute l'Europe, en particulier la France, l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne, excitant l'admiration des philosophes français et de Frédéric II, roi de Prusse, avec lequel il eut deux entrevues (à Neisse, août 1769; à Neustadt, en Moravie, septembre 1770). Il épousa la charmante Isabelle de Parme, qui mourut rapidement, puis Josepha de Bavière, qui lui déplut; leur fille mourut dans sa huitième année. Privé des affections de famille, Joseph se dédommagea par l'amour affiché de l'humanité. Il conçut le plan de vastes réformes sans tenir compte des antécédents historiques et des conditions, et lorsqu'il eut le pouvoir se mit à l'oeuvre pour réaliser ces imaginations.

Il n'eut de pouvoir effectif qu'à la mort de sa mère. Sans doute, il avait été élu roi des Romains dès 1764, et l'année suivante la mort de son père l'appelait à l'Empire; mais Marie-Thérèse conserva le gouvernement. Son fils, bien qu'associé officiellement à son autorité dans ses Etats héréditaires, n'eut, en fait, que la direction des affaires militaires, desquelles il se souciait peu. Sur les affaires intérieures, il n'eut pas d'action, d'autant qu'il s'entendait mal avec sa mère; elle insistait vainement pour l'amener à aller à l'église et à se confesser. En revanche, son influence fut prépondérante sur les affaires extérieures. Il suivit une politique d'acquisitions territoriales, favorisa le partage de la Pologne, se fit céder par la Turquie la Bukovine et le Banat avec Temesvar, mena la combinaison de l'annexion de la Bavière et, dans d'espoir de l'obtenir, s'allia à la Russie. Le 29 novembre 1780, la mort de Marie-Thérèse laissa le champ libre à Joseph II.

Il transforma la cour luxueuse de sa mère en quartier général et remplacé les douze cents chambellans par quelques aides de camp.

« Sa toilette, écrivait un ambassadeur, est celle d'un soldat; sa garde-robe, celle d'un sous-lieutenant; sa récréation, le travail; sa vie, le mouvement perpétuel. »
Il se mit à l'oeuvre sur-le-champ pour réorganiser ses Etats conformément aux principes supposés de la raison pure. Dans ses incessants voyages à travers ses Etats, il s'en allait à cheval sans autre escorte qu'un aide de camp; il arrivait à l'improviste dans les villes ou les villages, et s'installait à l'hôtel ou à l'auberge comme un simple particulier.

Cette tentative était particulièrement révolutionnaire dans les pays de la couronne des Habsbourg; les différences d'origine, de constitution, de langues, de traditions étaient extrêmes; Joseph Il n'en tint pas compte, voulant imposer à ses sujets une administration identique, comportant l'usage exclusif de la langue allemande; pour y arriver, il fit usage de son pouvoir absolu avec plus d'intransigeance qu'on n'y était accoutumé. La préface de cette transformation était la rupture avec la papauté, l'administration autrichienne ne pouvant réaliser les réformes qu'après s'être affranchie des liens multiples de la hiérarchie catholique. L'empereur, auquel ce plan avait été suggéré par un mémoire que lui remit, en 1777, en Suisse, Joseph de Lanjuinais, ancien moine converti au protestantisme, professeur à Mondon, procéda radicalement. Il écrivit à son ambassadeur à Rome, le cardinal Herzan : 

« Depuis que je porte la première couronne du monde, j'ai fait la philosophie législative de mon royaume. Pour se conformer à sa logique, l'Autriche prendra une autre forme. Je méprise les superstitieux et les saducéens, et j'en veux délivrer mon peuple. Je renverrai les moines et supprimerai les couvents. » 
A l'archevêque de Salzbourg, comte Colloredo, il écrivait : 
« Un Etat que je gouverne doit être régi d'après mes principes, et chacun de mes sujets doit être mis en possession des libertés naturelles. » 
Appliquant ce programme, il subordonna complètement l'Eglise à l'Etat. Il interdit à tous archevêques, évêques et autorités religieuses des pays autrichiens de recevoir les bulles ou brefs pontificaux et des ordres de supérieurs étrangers, sans autorisation du souverain. Les instructions et lettres pastorales des évêques à leurs diocésains durent être, avant leur publication, approuvées par le pouvoir temporel (26 mars 1781). Les évêques furent privés du droit d'absoudre et de dispenser qu'ils tenaient du pape; les bulles In Caena Domini et Unigenitus déclarées nulles, les évêques autorisés à délier des interdictions canoniques en fait de mariage (4 octobre 1781). Les appels à Rome des consistoires épiscopaux furent interdits et attribués aux tribunaux laïques. Les évêques durent, avant confirmation, prêter serment de fidélité au souverain; enfin Joseph Il déclara que le clergé devait s'en tenir à la prédication évangélique et au service du culte et ne conserver nul autre droit ni privilège. 

Les couvents se virent interdire toute relation avec l'étranger; ils furent déclarés indépendants des supérieurs et généraux résidant à l'étranger et placés sous les ordres de provinciaux indigènes et sous la surveillance des évêques. Les moines étrangers furent expulsés, l'acceptation de novices prohibée pour dix années. Après ces mesures préliminaires, l'empereur abolit dans ses Etats héréditaires tous les ordres et monastères menant une vie simplement contemplative, ne conservant que ceux qui faisaient oeuvre d'enseignement, assistance publique ou prédication. Décrétée le 30 octobre et le 20 décembre 1781, cette abolition fut effectuée le 12 janvier 1782. Les biens des couvents supprimés servirent à constituer un fonds religieux qui fut affecté à soutenir les moines sécularisés, à créer des écoles et établissements humanitaires. En huit ans, 700 couvents furent abolis et 36,000 religieux et religieuses sécularisés. Il resta 1324 couvents et 27,000 religieux.

Joseph II fit davantage; il s'attaqua au culte lui-même; il voulut réglementer la décoration des églises, interdire les expositions de reliques et d'images, restreindre les pèlerinages et processions, faire enterrer les morts dans des sacs, au lieu de cercueils, et dans des fours à chaux. Enfin il proclama la tolérance religieuse pour les protestants des deux confessions et les Grecs non-unis. Dès la fin de 1781, elle fut appliquée à l'Autriche, à la Bohème, à la Hongrie, à la Belgique. L'empereur n'osa pourtant pas établir l'absolue égalité de toutes les confessions religieuses. Il ordonna même contre quelques dissidents des mesures de violence, en régimentant en Transylvanie et privant de leurs enfants 247 déistes tchèques qui refusaient d'entrer dans une des Églises reconnues. L'opposition cléricale fut naturellement très vive. Le pape Pie VI adressa un bref auquel Kaunitz répliqua dans un style que n'aurait désavoué Bismarck. Le pape fit alors personnellement le voyage de Vienne (février-avril 1782). 

Les populations manifestèrent leur vénération; Joseph Il l'accueillit avec respect, mais ne fit aucune concession; Kaunitz traita Pie VI en visiteur ordinaire, se promenant avec lui bras dessus bras dessous. Le 16 janvier 1783 fut promulguée la décision qui dépouilla le mariage de tout caractère religieux, institua le mariage civil et le divorce. L'empereur enleva aux évêchés étrangers les portions autrichiennes de leurs diocèses, créa de nouveaux évêchés sans consulter le pape, nomma un archevêque de Milan en vertu de sa souveraineté territoriale, fonda des séminaires généraux à Vienne, Pest, Pavie et Louvain pour donner aux prêtres une éducation moderne. Subitement, en décembre 1783, Joseph Il se rendit à Rome. Bernis et l'ambassadeur espagnol Azara le décidèrent à s'entendre avec le pape, au moins sur la nomination des évêques lombards. L'acuité de la crise ecclésiastique diminua, Joseph II ayant d'autres soucis.

Il avait entrepris la réforme morale et sociale de ses Etats et y portait ses tendances doctrinaires. De ce côté, les résultats furent considérables et quelques-uns durables. Adversaire des distinctions de classes, il restreignit et définit les droits des seigneurs (octobre 1780), abolit les fidéicommis et les majorats et prononça la suppression du servage. Le paysan acquit la liberté personnelle, le droit de se marier, de contracter librement, de se déplacer; le seigneur dut lui vendre à prix équitable la terre qu'il cultivait; la condition des juifs fut améliorée. 

Dans l'ordre financier, Joseph II s'inspira des théories des physiocrates français; il s'efforça de réaliser une équitable répartition des charges, déclarant qu'il voulait supprimer les douanes intérieures, les impôts de consommation et gabelles, les droits corporatifs, faisant procéder à une évaluation des revenus et à un cadastre pour asseoir de nouveaux impôts. Cette enquête aboutit à la conclusion que le paysan conservait 70 % de sa production, en payait 12 % à l'Etat et 18 % au propriétaire féodal; le cadastre ne put être sérieusement fait et la réforme financière ne fut pas exécutée. Il suivit une politique résolument protectionniste: son tarif douanier du 24 août 1784 prohiba l'importation de beaucoup de denrées étrangères, imposa à d'autres des droits écrasants, fixa un délai pour l'écoulement total des marchandises accumulées dans les entrepôts intérieurs. Pour développer le commerce intérieur et extérieur, il construisit des routes, des canaux, ouvrit un débouché aux produits hongrois, par des traités de commerce avec la Russie et la Turquie, accrut la marine autrichienne qui prit sa part du commerce du Levant et parut dans les Indes orientales et occidentales. La réforme judiciaire partit du principe d'une législation unique basée sur le droit naturel; le nouveau code pénal ne fit aucune distinction entre les ordres, les peines étant les mêmes pour tous; les tribunaux furent réorganisés; Joseph II en créa soixante-six de première instance, des cours d'appel et trois cours supérieures. Il institua des magistrats municipaux assistés de légistes, ce qui eut pour effet de substituer des employés juristes aux municipalités bourgeoises. 

Il attacha la plus grande importance aux fondations humanitaires : un grand hospice à Vienne, une école de médecine militaire, un institut de sourds-muets, un asile pour les pauvres et les mendiants. Il multiplia les écoles, au point qu'en Bohème le nombre des enfants qui les fréquentaient dans les campagnes passa de 14,000 à 117,000 en dix ans. Il propagea l'instruction pratique, spécialement agricole et industrielle, laïcisa les gymnases, collèges et universités. Enfin, il proclama, dès le 11 juin 1781, la liberté de la presse, par l'abolition de la censure.

L'activité brouillonne de l'empereur bouleversant les abus séculaires et toutes les habitudes de ses sujets suscita partout de vives oppositions. En Hongrie et dans les Pays-Bas, celles-ci provoquèrent des guerres civiles. Ces pays résistèrent à la centralisation unitaire qu'on voulait imposer et défendaient les droits que leur garantissaient leurs constitutions. Joseph Il avait évité de venir à Presbourg (Bratislava) se faire couronner roi de Hongrie et jurer fidélité à la constitution  il blessa le sentiment national en implantant des colons allemands, en substituant au latin l'allemand comme langue officielle; le recensement, prélude de nouveaux impôts et de la conscription militaire, porta l'opposition au comble (août 1784). Les assemblées de comitats protestèrent. Le souverain renforça ses troupes en Hongrie, puis abolit la vieille constitution et la division en comitats rem placée par une division en dix cercles (18 mars 1785). Quand on voulut procéder au cadastre et à l'estimation des biens fonciers, les paysans prirent parti pour leur roi contre l'aristocratie; les Roumains de Transylvanie se soulevèrent, 132 châteaux furent brûlés, 62 villages détruits, 4000 hommes périrent.

Le mouvement gagnant la Hongrie, les ordres privilégiés acceptèrent les réformes, mais ils profitèrent bientôt après des difficultés de la guerre de Turquie pour refuser tout concours; de toutes parts, on réclama la convocation d'une diète, d'Etats généraux comme en France. Malade, menacé par la Prusse, Joseph II céda et rétablit la vieille constitution hongroise (28 janvier 1790).

Dans les Pays-Bas, le particularisme n'opposa pas de moindres obstacles aux plans de l'empereur, faiblement secondé par les administrateurs, sa soeur Marie-Christine et son beau-frère le duc Albert de Saxe-Teschen. Il avait débuté par un succès. Profitant de la faiblesse de la Hollande il avait exigé la suppression du traité de la Barrière (V. Utrecht [Traités d']) qui donnait aux Hollandais droit de garnison dans des forteresses belges (1784). La médiation de la France prévint une guerre; les Hollandais payèrent 5 millions de thalers, rendirent quatre forts, mais l'Escaut resta fermé et la rectification des frontières demandée par Joseph II n'eut pas lieu (novembre 1785). Les réformes anticléricales furent très mal accueillies par les Flamands et Brabançons; une émeute d'étudiants eut lieu à Bruxelles (décembre 1786) ; le souverain avait remplacé à la tête des Pays-Bas le faible Starhemberg par l'énergique Belgiojoso. 

Au début de l'an 1787, il promulga la nouvelle constitution; les vieilles institutions provinciales étaient supprimées, le pays divisé en neuf cercles, subdivisés en districts gouvernés par des intendants et des commissaires; un conseil administratif, auquel on adjoignait quelques députés des provinces, concentrait tous les pouvoirs. Dans l'ordre judiciaire, tous les tribunaux territoriaux, féodaux, ecclésiastiques étaient abolis. Le mécontentement fut général. Les Etats de Brabant refusèrent de reconnaître les édits impériaux, invoquant le serment prêté par Joseph (lors de sa « joyeuse entrée ») de maintenir les libertés et coutumes antiques. Intimidés par les émeutes, les administrateurs, l'archiduc Albert et Christine, soeur de l'empereur, suspendirent l'exécution des réformes et promirent d'en demander le rappel (30 mai 1787). Joseph II reçut cette nouvelle au cours de son voyage en Russie; il accourut à Vienne et y convoqua des délégués des Etats des provinces belges afin de s'entendre pour l'application des réformes (6 juillet 1787). 

Le conflit s'aggravait; le comte Murray fut nommé gouverneur généra des Pays-Bas et exigea l'application des réformes (1788). Puis vinrent l'énergique comte d'Alton et le comte Trautmannsdorf qui intimidèrent les Etats provinciaux; ceux-ci cédèrent. Mais les chefs du mouvement Vonck et Van der Noot, avocats brabançons, continuèrent de fomenter la résistance. Des conflits se multiplièrent entre patriotes et en septembre 1789 un corps d'insurgés, commandé par Van der Mersch, s'empara de Breda, proclamant la déchéance de Joseph Il. Un sanglant combat eut lieu à Turnhout et les Autrichiens furent repoussés (26 octobre 1789). L'insurrection devint générale; il fallut évacuer Bruxelles (décembre 1789). L'armée impériale se débanda, le trésor, les archives, tombèrent aux mains des Belges qui proclamèrent leur indépendance. L'empereur survécut à peine de quelques semaines à ces désastreuses nouvelles.

La politique extérieure de Joseph II ne fut pas plus heureuse que ses projets unitaires. Il avait vainement essayé de réformer la justice dans le Saint-Empire et de réorganiser la Chambre impériale (1767). Il avait, par ses projets sur la Bavière, déterminé la formation d'une « ligue des princes » contre l'Autriche. Même l'antagonisme des électeurs ecclésiastiques avec Rome et leurs revendications autonomistes (novembre 1786) ne purent amener un rapprochement entre eux et l'empereur. 
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Joseph II.
Joseph II, empereur d'Allemagne.
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Joseph II prit dans le partage de la Pologne et la succession bavaroise une part active. Il commandait l'armée autrichienne dans la courte guerre de 1778-1779, mais n'osa risquer de bataille. Il fut l'auteur du rapprochement avec la Russie qui isola la Prusse, et se tint à l'alliance de Catherine II qui en eut tous les bénéfices. Il l'accompagna dans son fameux voyage de Tauride, depuis Kherson jusqu'en Crimée et à Poltava (1787). Il rêvait la restauration de l'empire grec. Mais, quand il déclara la guerre aux Turcs (9 février 1788), son feld-maréchal Lascy dispersa ses 218,000 hommes tout le long de la frontière depuis le Dniestr jusqu'à l'Adriatique; Joseph II vint au quartier général de Fulak, en face de Belgrade. L'éparpillement de ses forces et l'insubordination de la Hongrie empêchèrent de frapper des coups décisifs; tandis que Souvorov remportait les plus brillants succès avec le concours du prince de Cobourg, il fallut se contenter de la prise de Belgrade (8 octobre 1789), suivie de celles de Semendria et Passarovitz. 

Les fatigues de la campagne aggravèrent la maladie de foie à laquelle Joseph Il succomba peu après. Il laissait l'image d'un prince, qui rêva de si grandes choses et n'eut ni le temps ni la force de les réaliser. Jamais peut-être on ne vit de souverain plus inconscient des conditions historiques. Sans en tenir compte, il voulut imposer à tous ses sujets son idéal humanitaire. Beaucoup pourtant de ses réformes lui survécurent, d'autant qu'il avait dirigé l'éducation de son neveu et héritier qui devint François II. Son souvenir resta très populaire en Autriche, et son esprit anima longtemps les classes moyennes. 

Joseph II n'avait eu d'enfants ni de sa première femme, Isabelle, fille du duc Philippe de Parme, morte en 1763, ni de la seconde, Maria-Josepha, fille de l'empereur Charles VII, morte en 1767. Son frère Léopold (II), grand-duc de Toscane, lui succéda. (A. M. B.).

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